----------Introduction Préliminaires
Dans l'espace-temps infini et vaste,
Le cosmos à perte de vue s'étend gravitationnellement.
Des corps célestes, des satellites, des planètes et exoplanètes,
Orbitant autour du Soleil, notre étoile enfant.
Harmonie consciencieuse, mystérieuse, une valse d'entant.
Nous emportes, petits et grands, au palpitant.
La magnificence du macrocosme, se prêtant à une musique sans son;
Avec ses éléments, ses étoiles à neutrons, ces noeuds, ces cordes, ces dimensions.
Son nuage interstellaire, sa matière noire, une mélodie, un diapason,
Sa voie lactée, en constante expansion, évolution, effervescence en ébullition.
La Terre, notre monde joli et plaisant,
Tournant autour du Soleil, bercé par le vent solaire,
Avec ses éléments : feu, air, eau et terre,
Le coeur battant au rythme des astres.
Plait-il! Fût-il issu d'un désastre.
L'amour et la passion pour la vie,
La tendresse pour notre planète enfant,
Le feu de la passion et de la vie,
Le souffle du vent qui parcourt notre Terre.
Ondes vibratoires, miroitantes. Autant en emporte le temps.
Le Soleil, Mercure, Venus, Mars, Lune, Terre, Saturne, Jupiter,
Uranus, Neptune, Pluton et Orion, dans une cacophonie des plus harmonieuse.
Pluie d'astéroïdes, rayons ultraviolets, matière baryonique, pourtant si envieuse.
Ne me laisse plus de rimes au verset, strophe catastrophe.
#Je me questionne! Devrais-je réécrire un nouveau couplet.
Naines blanches, énergie sombre, que me manque t-il?
La lumière qui éclaire notre cosmos,
Comètes, météores, constellations, étoiles, poussière d'anges, entends-tu le carillon!
La troposphère, la stratosphère, la mésosphère, l'ionosphère, l'exosphère et l'atmosphère.
Je ne respecte point, ni strophes, ni vocabulaire, ni ponctuation, ni règles de grammaire,
Sans liberté, la pensée n'est plus, l'Art de toute chose est à l'artiste et non pas à l'institut.
Électrons, gaz, plasma, ions,
Ondes, densité, température, oxygène,
Tout se mêle et se déploie dans le cosmos.
Dans un divertissement éternel et époustouflant.
----------Éjaculation Verbale Jouissance de la Strophes
Lundi naît sous la Lune d’argent,
Là où le rêve devient présent.
Mars de feu, mardi s’éveille,
Au combat des astres, en veille.
Le mercredi, Mercure danse,
Verbe agile, éclat de chance.
Jeudi, Jupiter plane haut,
Souverain du ciel, roi des mots.
Les mois passent, capricieux vents,
Le Soleil tourne dans son temps,
Janvier froid, glaçons austères,
Mars éclaire d'un air plus clair,
Avril rit, semant les couleurs,
Mai fleurit de mille douceurs.
L’été brûle sous le feu du Lion,
Le solstice peint sa vision,
Saison de chair et de lumière,
Où chaque goutte devient prière.
Les blés chantent sous les étoiles,
Et les heures se font royales.
Vendredi, Vénus scintille,
Satin doux sous le vent gracile.
Samedi danse, tout alchimie,
Sous Saturne, le temps s’oublie.
Puis dimanche, dernier soupir,
Sol Invictus fait son empire.
Les saisons font leur symphonie,
Automne d’or, sa mélancolie,
L’hiver grave des runes de glace,
Tandis que les cœurs cherchent l’espace.
Printemps renoue les fils cachés,
Le renouveau des jours passés.
Le temps se noue, spirale étrange,
Le dimanche redevient ange,
Et chaque instant se relie,
Freud soupire dans son abri.
Goethe, en scène, joue sa vision,
Hermès crée une révolution.
Les mois tournent en lames d’acier,
Alchimie des âmes liées,
Chaque saison, un passage,
Vers l’union dans le grand ouvrage.
Février murmure aux ténèbres,
Ombre fugace, souffle célèbre,
Il efface ce qui s’étend,
Dans le reflet de l’élément.
Mars rugit avec violence,
Ressuscitant l’évidence,
Que tout renaît, d’un feu sacré,
Par la flamme à jamais marquée.
Les jours s’étirent, brèches ouvertes,
Dans la géométrie des heures.
Avril dévoile des promesses,
Sous des pluies enchanteresses.
Mai, déjà, éclate en beauté,
Chœur d’émeraude exalté.
Les fleurs couronnent l’éphémère,
Danse frêle dans la lumière.
Juin, solaire, brûle en silence,
Alchimie d’une flamboyance.
Les nuits se noient dans des éclats,
L’été forge des mondes là.
Sous la peau, le temps s’immisce,
Chaque battement est supplice,
Chaque seconde un univers,
Où la matière devient mystère.
Jeudi retrouve son éclat,
Jupiter, maître au cœur si bas,
Jette ses dés dans l’infini,
Créant les lois qui sont en lui.
Le ciel tremble sous son pouvoir,
L’éther vibrant, baigné de noir.
Juillet rit sous les éclairs d’or,
Août s’étend, grandiose encore.
Le vent chaud porte un doux secret,
Sifflant entre les blés courbés.
Puis septembre, sage retour,
Avec ses feuilles en velours,
Qui tombent, touchant l’éternel,
Rêvant de l’ombre sous le ciel.
Octobre perce le mystère,
Alchimie des feuilles amères,
La terre respire dans l’oubli,
D’un temps éteint, bientôt enfui.
Novembre grave en son linceul,
Des échos d’hivers sans linceul.
Puis décembre, vieux roi glacé,
Se dresse en vain, tout effacé.
Les saisons tissent leurs spirales,
Dans l’étrange danse astrale,
Le temps valse, parfois s’efface,
Sous l’œil de Saturne vorace.
Mais Hermès glisse en éclair,
Sur des mots, tissant son mystère.
Chaque jour brille comme un astre,
Chaque mois, une clé plus vaste.
Du Lundi sombre aux feux d'été,
La roue tourne en toute clarté.
Freud soupire à travers l’ombre,
L’âme plonge, fusion des nombres,
Et Goethe rit dans l’éclat d’or,
Où le théâtre prend son essor.
Ainsi le temps, spirale immense,
Nous emmène vers la conscience,
Où l’étoile devient cristal,
Où tout finit dans l’idéal.
Le cycle s’ouvre, et dans nos mains,
Alchimistes, forgeons demain.
Dans l’étreinte du Grand Cosmos,
L’âme s’élance, cherche l’Éros.
Un orgasme de l’univers,
Fusion céleste, éclat de chair.
Chaque planète vibre en cadence,
Dans l'alchimie de l’existence,
Les astres jouissent, hors du temps,
Ils sculptent l’instant flamboyant.
Le cycle s’étire, infini,
Les jours gravent leur harmonie,
Lundi revient, tel un miroir,
Le reflet pur de nos espoirs.
Les saisons vibrent à leur tour,
Dans cette ronde sans détour.
Printemps exulte dans l’étreinte,
De chaque graine, souffle éteinte.
L’été, l’ardeur de mille feux,
S'enlace aux corps, vibrants et bleus.
Septembre, l’ivresse d’un baiser,
Octobre glisse en voiles posés,
Novembre enivre dans ses brumes,
Décembre jouit de l'amertume.
Les mois s’étreignent, amants fous,
Sur l’axe du monde qui s’échoue.
Freud contemple cette spirale,
Tandis qu’Hermès y voit l’idéal.
Le temps n’est qu’un vaste désir,
Une pulsation à saisir.
Chaque seconde est volupté,
Chaque battement, éternité.
Jupiter gronde en ses éclairs,
Vénus répond, l’œil sincère,
Mars, brûlant de passion brute,
Révèle au monde, son énigme nue, en rut.
Les constellations se dispersent,
Leur lumière enflammée, perverse,
S’unit dans une vague ardente,
Brisant le vide en jouissance.
Saturne garde son silence,
Dans l’obscurité des absences,
Tandis qu’au loin, le temps éclate,
Dans l’ultime étreinte écarlate.
L’univers jouit de sa lumière,
Le cycle danse, libre et fier.
Chaque étoile un cri, un frisson,
Où se fond l’étrange leçon :
Le temps n’est rien qu’un doux mirage,
Une onde éphémère de passage,
Nous, poussières transcendantes,
Du Tout de Tout, amants amantes.
Les jours vibrent, chantent, fusionnent,
Dans cette transe où tout résonne,
Semaine, mois, années, saisons,
S’entrelacent dans l’unisson.
Hermès sourit, Goethe éclate,
L’œuvre se fait, orgiaque et vaste,
Un orgasme cosmique, pur,
Où tout renaît, où rien ne dure.
Dans la brume des étoiles nues,
S'étend l'ombre, douce et connue.
Chaque pulsation du silence
Est une vague de jouissance.
Les saisons s'étirent en flammes,
Le temps devient une grande âme,
Fusion divine, extase pure,
Où tout frôle la démesure.
Février, ce souffle glacé,
Se dissout dans l'éternité.
Mars, tel un volcan souverain,
Fait jaillir feu, désir divin.
Les mois se penchent vers l’abîme,
En quête d'un vertige intime,
Et dans leurs bras, nous chavirons,
Portés par l'ivresse des sons.
Avril s’offre dans un éclat,
Le ciel frissonne sous ses bras.
Mai soupire, sa rose éclate,
Juin se dévore en son étreinte.
Le soleil s'enflamme et frémit,
L'été brûle, en sueur, en cris,
Et sous les étoiles brisées,
L’univers vibre, sans parler.
Les jours se fondent dans la nuit,
Lundi s’éveille dans un cri,
Vénus sourit, Mars enflammé,
Le désir se fait vérité.
Mercredi chante la fusion,
Mercure rit sous la passion,
Ainsi chaque seconde tissée
Devient l’extase des pensées.
Août plonge dans un feu secret,
Septembre s’enlace au reflet,
Le vent caresse, la terre vibre,
Chaque atome devient un livre.
Octobre, en ses éclats dorés,
Scelle l’éclat des jours passés,
Et novembre, dans sa liqueur,
Offre au temps son souffle vainqueur.
Et je scrute l’abîme, patient,
Voyant mon âme, dans le chant,
Renverser les murailles du temps,
Tel un soleil, dans un éclat blanc,
Peut transcender l’ombre du vide,
Dans un orgasme infini, limpide,
Où l’esprit s'élève au-dessus,
D’une passion toujours émue.
Décembre scelle l’ultime phase,
Où l’hiver envoûte en extase.
Les nuits se tendent, chaque étoile
Se glisse dans l’immense toile.
L’univers crie dans le silence,
En offrande à cette cadence.
Et Saturne, en roi éternel,
Étreint le dernier tour du ciel.
L’onde éclate dans l’éther,
Chaque son devient lumière.
Le cosmos entier se fond,
Dans cette cadence de fond,
Et nous, petits astres perdus,
Suivons la danse d’un salut,
Portés par l’onde irrésistible,
Où l’amour devient invisible.
Le cycle s’achève, sublime,
Dans une vague d'or intime.
Les saisons, mois, jours s’enlacent,
Le temps se brise en une grâce.
Et dans ce grand orgasme pur,
Nous atteignons l’éclat futur,
Où tout devient, tout recommence,
Dans cette divine cadence.
Dans l’étreinte de l’univers,
Nos âmes fusionnent à l’envers,
Le temps s’efface, l’amour triomphe,
L’éternité nous emporte en triomphe.
Dernière note, ultime élan,
A l’unisson, cosmos, terre, océan,
Nous jouissons, l’espace en feu,
Dans l’infini des cieux radieux.
----------Spasmes des Lettres Orgasme des Rimes
Au cœur des astres en fusion,
Freud sonde l’âme, ému, profond,
Hermès distille avec raison,
Le chant secret de l’horizon.
Goethe orchestre sous l’ombre bleue,
Le théâtre des dieux fiévreux,
Où les planètes souveraines
Gravent leurs danses souveraines.
La Lune avec Saturne s’unit,
Mars rugit dans son feu sacré,
Vénus, discrète, adoucit
Les cœurs qui veulent s’enflammer.
Chaque planète en rythme pur,
Glisse en douceur sous les murmures,
Des cieux aux éclats éternels,
Où Freud scrute ses rêves tels.
Les mois valsent, le temps s’étire,
Janvier, seigneur froid dans son palais,
Avril au souffle fait sourire,
Juillet règne sous le soleil.
L’automne murmure en écho,
L’adieu des feuilles vers le froid,
Et l’hiver, majestueux fléau,
Endort les astres sous ses lois.
Ainsi le cycle des saisons
S’unit dans un rêve éclatant,
Hermès dans ses transmutations
Tisse la magie de l’instant.
Goethe voit dans ce développement si vaste,
Le théâtre des cieux fidèles,
Où chaque geste est une étreinte
Entre étoiles qui scintillent et coeur modeste.
Les jours battent aux cœurs des cieux,
Lundi brille sous Jupiter,
Mardi, guerrier des astres fougueux,
Mars enflamme l’air, fier et clair.
Mercredi glisse sous Mercure,
Dans une course en vent léger,
Jeudi s’étend sous la parure
De Jupiter, l’astre doré.
Vendredi s’ouvre à Vénus,
Douce lumière de l’amour,
Sous ses chaînes d’or, elle musse
Les cœurs brûlants de ses atours.
Puis vient Saturne dans sa clarté,
Offrant la sagesse aux esprits,
Samedi porte la vérité,
Que le temps laisse dans ses plis.
Le temps tisse une mélodie,
Huit jours, huit mondes en harmonie,
L’espace courbe ses symphonies,
Sous Freud, Hermès, et leurs magies.
Chaque instant se fait éternel,
Sous l’écho d’un ciel immortel,
Où la pensée freudienne danse,
Avec l’alchimie qui s’élance.
Ainsi, la valse des étoiles,
Sous les mois et les jours d’argent,
Nous emporte loin sous son voile,
En un rêve doux et changeant.
Goethe contemple, dans l’abîme,
Ce théâtre d’ombre et de feu,
Où les astres lancent des rimes
Écrites par les mains des dieux.
Sous les voiles de Vénus douce,
La passion naît dans chaque étoile,
Un souffle chaud qui nous secoue,
Emporte nos corps en cavale.
Le désir vibre dans l’éther,
Tissé des éclats de lumière,
Une apothéose où l’âme s’enflamme,
Où tout frémit, où tout réclame.
Mars, conquérant de mille feux,
Tisse en son cœur l'ardent secret,
Chaque battement est un vœu,
Où la chair brûle et se soumet.
Les astres dansent dans la nuit,
Leurs étreintes gonflent les cieux,
L’amour infini les poursuit,
En vagues douces, langoureux.
Vénus s’approche, nous enlace,
Son souffle ardent couvre la peau,
L’étreinte cosmique nous embrasse,
Et fait des corps des feux nouveaux.
Sous ses baisers de velours pur,
Les lunes se meuvent, tout est clair,
Le désir s’envole, obscur,
En une symphonie d’éclair.
Les cieux s’ouvrent, tout se révèle,
Chaque étoile pulse et répond,
Les baisers glissent, doux et frêles,
Sur la peau, sous le vent profond.
Hermès trace un cercle de feu,
Où les corps se perdent, s’enlacent,
Sous la magie d’un souffle bleu,
Chaque astre brûle et se déplace.
Sous cette alchimie des astres,
Le plaisir danse dans les cœurs,
Chaque contact est un désastre,
Qui crée la vie, qui forge l’heure.
Les cieux vibrent dans cette étreinte,
Où tout fusionne, tout renaît,
Et chaque vague qui nous étreint
Nous mène à l’extase parfait.
Le feu des corps est infini,
En harmonie sous les cieux clairs,
Les planètes glissent dans la nuit,
Éclairant l’amour au désert.
Et dans cette danse divine,
Le désir devient une fleur,
Qui s’épanouit en nous, fine,
Sous les caresses des lueurs.
Les astres chantent, nous emportent,
Leurs harmonies brûlent nos âmes,
Le désir frappe à toutes portes,
L’amour éclot dans chaque flamme.
Mars, Vénus et Jupiter,
Tissent leurs chants en nous, mêlés,
Dans une étreinte millénaire,
Où la passion est sublimée.
Dans l’ombre douce de la nuit,
Les astres vibrent, nous séduisent,
Le désir brûle, infini,
Sous leurs chants, nos âmes frémissent.
Vénus embrase nos corps unis,
Son souffle ardent traverse l’air,
Le plaisir éclate dans l’esprit,
Tout devient chaud, tout devient luminaire.
Mars, au cœur de son feu sacré,
Nous pousse à la fougue, à l’élan,
Chaque baiser est un secret,
Chaque caresse, un cri brûlant.
Sous le voile des astres d’or,
Nos peaux s’allument de frissons,
L’univers devient un port,
Où les désirs se font chansons.
Hermès dans ses gestes subtils,
Mêle la magie au plaisir pur,
Les corps s’ouvrent, l’instant fragile,
Se fait intense et doux murmure.
L’amour se trace en volutes,
Comme des feux sur nos destins,
Chaque touche est une lutte,
Entre nos âmes et nos mains.
Vénus danse et dans son sillage,
Nos cœurs s’envolent, étincelants,
La passion devient un rivage,
Où tout se fond, où tout s’étend.
Nos corps se cherchent, se répondent,
Les astres nous guident en secret,
Dans cet amour qui nous inonde,
Tout devient feu, tout est parfait.
Jupiter éclaire les cieux,
Sous ses éclairs, tout se consume,
La passion monte vers les dieux,
Et nos âmes touchent les brumes.
Le plaisir s’amplifie, éclat,
Les astres vibrent sous nos mains,
Chaque soupir devient combat,
Chaque instant est un feu divin.
Dans cette étreinte universelle,
Où tout est souffle, onde et chaleur,
Nos corps, comme des arcs rebelles,
S’unissent en un feu vainqueur.
Les étoiles dans leur cadence
Applaudissent nos voluptés,
Et dans cet infini silence,
Nos âmes s’aiment à tout jamais.
Mars, Vénus, leurs chants s’élèvent,
En harmonie sous nos désirs,
Le plaisir coule comme un rêve,
Et l’univers se fait soupir.
Chaque frisson devient un cri,
Chaque seconde un feu puissant,
Et dans cette fusion, je vis
L’amour brûlant, éblouissant.
Les jours s’éveillent sous nos doigts,
Lundi caresse de sa brise
Nos corps enlacés dans la soie,
Douceur céleste qui attise.
Mardi fait vibrer nos élans,
Sous Mars au souffle ardent, fougueux,
Chaque instant se fait brûlant,
Dans l’éclat d’un désir soyeux.
Mercredi glisse sous Mercure,
Nos âmes dansent, légères, nues,
Les heures s’étirent sans murmure,
Sous les étoiles suspendues.
Jeudi déploie son éclat d’or,
Jupiter veille sur nos feux,
L’amour éclot dans cet essor,
Unissant nos corps radieux.
Puis vient Vénus en vendredi,
Douce maîtresse de nos sens,
Sous ses baisers, tout est un cri,
Un souffle chaud en résonance.
Samedi, dans l’ombre de Saturne,
Tisse une sagesse infinie,
Nos passions à jamais nocturnes
Rendent nos cœurs à l’alchimie.
Les mois valsent, de leur cadence,
Janvier, seigneur du froid, prend son envol,
Sous ses glaces pleines d’élégance,
Nos corps s’échauffent en créole.
Mars, guerrier des feux flamboyants,
Enflamme Avril dans son élan,
Puis Mai éclot en riant,
La fleur des désirs éclatants.
L’Été s’empare de nos âmes,
Juillet, maître du ciel brûlant,
Nous donne l’or et les flammes,
Août se tisse en vent caressant.
Puis vient Septembre sous l’éclat,
Des fruits mûrs de nos corps tendus,
L’automne chante sous les pas,
Nos âmes en flamme suspendues.
L’hiver revient, porteur de givre,
Décembre veille sur nos nuits,
Mais dans nos cœurs tout est à vivre,
Sous le désir et ses appuis.
Les saisons tournent dans la ronde,
Nos corps vibrent sous les émois,
Et chaque instant devient la sonde
D’un univers brûlant de joie.
Ainsi la fin en fanfare éclatante
Sous les étoiles tout explose,
Les jours, les mois, les cieux unis,
Les saisons chantent en apothéose,
Tout se mêle, tout est dit.
Freud décrypte les âmes en fièvre,
Hermès fait naître un feu puissant,
Et Goethe, dans ce rêve mièvre,
Orchestrant un amour éclatant.
Les astres dansent en cascade,
Chaque planète au rythme fou,
Les cœurs s’enlacent en parade,
Et nos corps brûlent tout à coup.
L’univers entier nous enlace,
Les cieux s’unissent en symphonie,
Dans cette étreinte où tout s’efface,
Le temps se fond en infini.
Alors les jours se courbent enfin,
Leurs rires éclatent dans le vent,
Et les saisons forment un chemin,
De lumières et d’éclats ardents.
Les astres, dans un cri d’amour,
Explosent en éclats magiques,
Et nos âmes, pour toujours,
Fusionnent en un feu mystique.
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Inspiré par: Pierre Daco Sigmund Freud Hermès Trismégiste Goethe
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