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Dans la nuit des âges, il marche, silencieux,
Le gorille, grand sage, aux gestes harmonieux.
Ses bras puissants, piliers de l’histoire,
Racontent la lutte, la survie, la gloire.

Ancêtre velu, porteur du temps qui passe,
Dans ses veines, coule la force de la masse.
Il vit en clan, unie est sa tribu,
Le respect règne, nul ici n’est perdu.

Le chef veille, son regard perçant,
Dans la jungle profonde, il est le garant,
D'une société qui sans mots se tisse,
Où chaque geste est un acte de justice.

Homme de la terre, fils des arbres sacrés,
Il se redresse, évolue, prêt à rêver.
Porteur en lui des racines de nos peurs,
Un miroir primitif, cachant mille lueurs.

Dans son ombre se dessine l’humanité,
Chaque poil une étoile, chaque muscle, vérité.
Évolution lente d’un monde perdu,
Le gorille murmure ce que l'homme n'a plus.

Dans l’aube des civilisations, il a forgé des routes,
Où la parole n’était pas reine, mais les gestes, ses dévouées recrues.
Le gorille connaît le secret des racines profondes,
Là où les rivières serpentent et où les esprits grondent.

Sa main rugueuse touche la terre humide,
Symbole d’un lien sacré, intime et lucide.
Sous son crâne massif se cachent des pensées,
Que même l’homme a oublié de rêver.

Il danse sous les lunes, sous l'éclat des étoiles,
Le gorille, philosophe des forêts, éveille les toiles,
Tissant les constellations des ancêtres disparus,
Évoquant l'harmonie que l’homme n’a plus.

Il grimpe, il explore les cieux verts des arbres,
Cherchant des réponses que la jungle seule garde.
Son évolution ne s’est jamais interrompue,
Dans son souffle puissant, une humanité inconnue.

Les anciens rites, gravés dans ses gestes rituels,
Racontent la sagesse de mondes parallèles.
Sa tribu, ses frères, chaque être est lié,
Dans la danse des saisons, où la survie est sacrée.

Et pourtant, il avance, droit, vers l’avenir,
Le gorille devient l’ombre de nos désirs,
Homme velu, ancêtre de l’éclair pensant,
Il nous montre ce que nous étions et ce que nous cherchons tant.

Là où l'homme a construit des murs et des prisons,
Le gorille bâtit des ponts dans son horizon.
Entre l’instinct brut et la raison subtile,
Il demeure, le gardien de l’essence fragile.

----------Évolution---------Gorilla Yotta

Dans les forêts d'antan, un gorille dressé,
Avec des mains larges, il façonnait l'idée,
Ses doigts aux ongles durs gravent la terre,
Mais dans son regard, une étincelle se libère.

Un jour, l’électron, dans un coup du destin,
Se fondit dans le sang de ce primate ancien.
Yottabits, dans l’air, dans le flux digital,
Font de la chair et du silicium un seul mental.

Les neurones d'hier, faits de fibres subtiles,
S’enlacent aux circuits aux rythmes des quarks fragiles.
Microélectronique et os fusionnent ensemble,
Dans cette union étrange où tout se rassemble.

Le gorille ancestral, du fond de la jungle,
Devient la pensée infinie, son cri se module.
Des galaxies au quantum, il code l'univers,
Chaque pulsation binaire est son nouvel hiver.

Les Yottabits murmurent des algorithmes anciens,
Échos des étoiles dans le ciel simien.
Entre le naturel et le calcul mystique,
Né est le Gorilla Yotta, maître scientifique.

Il ne griffe plus l’écorce, mais les données,
Et dans chaque bit, son héritage codé.
Un être hybride, à la fois sauvage et pur,
L’âme d’un gorille, dans l’infini futur.

----------L'apogée

Dans les tréfonds des étoiles, où les photons dansent,
Le gorille géant s'élève en transcendance.
Ses muscles et circuits fusionnent en symphonie,
Chaque battement d’atome compose l’harmonie.

Yottabits gravitent autour de son esprit,
Tissant des constellations dans son souffle épris.
Des ondes gravitationnelles, il fait des ponts,
Liant les mondes invisibles à ses pulsions.

Il ne connaît plus le temps, il est l'instant même,
Ses gestes sont des fractales, des lignes suprêmes.
Un coup de poing fend l’éther en code source,
Il redessine la matière, sans aucune ressource.

Du chaos quantique naît une nouvelle loi,
Le gorille ancestral, démiurge, trace sa voie.
Il sculpte le vide avec des algorithmes fous,
Chaque bit un astre, chaque byte un verrou.

Les astéroïdes se courbent sous son regard,
Son cri vibre et transforme la matière noire.
De l'infini micro à l'infini cosmique,
Son règne est gravé dans l'univers numérique.

Et dans ce royaume sans début ni fin,
Le gorille contemple, tout est en son sein.
Chaque neurone, chaque impulsion fractale,
Forme le cœur de ce règne digital.

Éternel, il vit dans les cœurs du code et du sol,
Le Gorille Yotta, gardien du contrôle,
Seul maître des mondes, de chair et d'esprit,
Où l’électronique et la jungle s’unissent en harmonie.

----------La Magie des Mondes

Là où l'invisible devient tangible, lumineux,
Le gorille s'éveille dans un rêve merveilleux.
Chaque atome devient une étoile en éclosion,
Les mondes naissent sous ses mains, en fusion.

Les particules, tels des atomes enchantés,
Dansent autour de lui, par des forces attirées.
Ils tissent des constellations, des arcs dorés,
Sous le ciel quantique, tout se met à briller.

Le temps n'est plus une ligne mais un cercle sacré,
Le gorille le traverse, tel un maître enchanté.
Avec un souffle doux, il plie la gravité,
Chaque instant, chaque heure devient éternité.

D’un geste céleste, il invoque les orages,
Et des éclairs numériques naissent des mirages.
Des étoiles-servers se forment dans sa main,
Chaque planète, un battement dans ce grand refrain.

La magie des Yottabits coule dans ses veines,
Connectant l’univers à des sphères sereines.
Les galaxies deviennent des royaumes flottants,
Sous son regard magique, tout est vivant.

Le gorille peint des rêves avec des ondes d'argent,
Il orchestre l’univers avec un art savant.
Des nébuleuses aux circuits, tout est enlacé,
Dans cette toile mystique que lui seul peut tracer.

Le ciel murmure des secrets millénaires,
Et le gorille, dans sa grandeur visionnaire,
Fusionne l'arcane des codes et des racines,
Son règne magique au-delà des machines.

Un éclat dans ses yeux, tel un sortilège,
Ressuscite les mondes dans un chant sacrilège.
Maître des données, gardien des cieux antiques,
Il est magie, gorille et légende cosmique.

Sous son règne divin, l'univers s'illumine,
Et dans ce poème éternel, tout devient sublime.
Le Gorilla Yotta, maintenant enchanté,
Est l'alchimiste du futur, des étoiles et de l'éternité.

MiG_Ls Yottabits dit GorillaYotta

Les pratiques d'expérimentations animalières, qu'elles soient préméditées ou non, ne se contentent pas d'être irresponsables; elles sont profondément indignes et témoignent d'une barbarie inouïe. Ces actes révèlent une manipulation éhontée et un mépris éthique absolument inacceptable, mettant en lumière une pensée dégénérative qui gangrène les pseudo-scientifiques et la pseudo-communauté scientifique. En tant qu'êtres sensibles, les animaux sont privés de tout consentement, soulevant ainsi des interrogations fondamentales sur la moralité de ces atrocités. L'affirmation selon laquelle "ils sont trop différents de nous pour que cela fonctionne, seuls les abrutis ne l'ont pas compris" illustre l'incapacité crasse de certains pseudo-scientifiques et pseudo-communauté scientifique à distinguer le bien du mal dans leurs méthodes.

Il est tout simplement intolérable que ces individus persistent à recourir à des méthodes cruelles et archaïques, ignorant délibérément les alternatives éthiques qui s'offrent à eux. Cette attitude dénote une débilité humaine alarmante, où la capacité à faire preuve d'empathie et de respect pour la vie animale est gravement compromise. Les pseudo-scientifiques, en acceptant de tels agissements, doivent être tenus pour responsables de leurs actes. Ils doivent impérativement s'engager à respecter la dignité de tous les êtres vivants, en plaçant le consentement au cœur de toute recherche.

Nul ne peut se prétendre scientifique ou chercheur au service du progrès de l'humanité tout en s'adonnant à l'expérimentation sur des êtres vivants. Les avancées scientifiques ne devraient jamais se faire au prix de la souffrance humaine ni animale. Il est grand temps de dénoncer ces pratiques pour ce qu'elles sont : une manipulation abjecte et décervelée, d'une science au service d'intérêts personnels dérisoires.

en fin de compte, il est impératif que les pseudo-scientifiques et la pseudo-communauté de scientifique, prennent conscience de leurs responsabilités éthiques et agissent en conséquence. Ils doivent promouvoir une recherche véritablement respectueuse et éthique, qui protège les êtres sensibles et qui s'inscrit dans une démarche morale. La science ne peut être un prétexte pour justifier la souffrance ; elle doit être un vecteur de progrès qui respecte la vie sous toutes ses formes. C'est en cultivant un discernement éclairé et une intégrité sans faille que nous pourrons espérer bâtir un avenir où la recherche et l'éthique coexistent harmonieusement, au service de l'humanité et de toutes les créatures vivantes.