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Artistes:
Droit d'auteur: le feu, symbole de la création.
Propriété intellectuelle: la terre, base solide de la protection.
Copyright: l’air, qui circule et diffuse.
Morale: l’eau, fluide, qui épouse chaque forme.
Éthique: l’éther, l’élément immatériel et pur.

introduction:
Ô toi, qui scrutes la loi dans l'ombre,
Sache qu'elle est plus qu'un code sans nombre.
L’art et le droit, deux ailes d’un même vol,
Élèvent l’humanité vers le symbole.
Ici se scelle, dans des mots gravés,
L’hymne des lois que l’esprit a rêvées.
Un pacte divin s’écrit dans l’espace,
Le chant du droit unit les cœurs, tenace.

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Au seuil des codes et lois immémorées,
Cinq ombres se dressent, le verbe affûté,
Droit d'auteur s’avance, plume en sa main dorée,
Propriété veille, les rênes bien gardées,
Copyright en toge, se fait l’arbitre fier,
Morale murmure des règles de lumière,
Tandis qu’Éthique forge le juste acier.

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Droit d'auteur, ô gardien des œuvres tissées,
Des notes, des vers, des peintures sacrées,
Tu veilles, bras ferme, sur chaque pensée,
De l’artiste naissant, à l’âme consacrée.
Mais que vaut la plume sans propriété ?
Sans un droit scellé à la création ?
Le chemin se perd dans l’imagination.

Référence poétique à l'Article L.111-1 du Code de la Propriété Intellectuelle:
Le créateur, seul maître de son œuvre,
Invoque la loi et d’un sceau l'ouvre.
Par décret divin, son droit est scellé,
Nul ne peut ôter ce qui fut donné.
L'artiste en roi, un trône immatériel,
Où chaque trait naît sous le ciel formel,
Gardien des secrets sous son voile éternel.

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La Propriété, silencieuse conquête,
Empreinte des idées, des biens qu’on décrète,
Tu défends les terres invisibles d’esprit,
Pour qu’aucune main ne s’en empare en cri.
Sans toi, l’effort sombre dans l’abandon,
L’artiste pleure sous les feux des dragons,
Volé par des mains qui ignorent le don.

Référence poétique à l'Article L.111-1 du Code de la Propriété Intellectuelle:
Le créateur, seul maître de son œuvre,
Invoque la loi, et d’un sceau l’ouvre.
Par décret divin, son droit est scellé,
Nul ne peut ôter ce qui fut donné.
L'artiste en roi, un trône immatériel,
Où chaque trait naît sous le ciel formel,
Gardien des secrets sous son voile éternel.

Allusion à la "Statute of Anne" de 1710:
Sous la plume d’une reine sage et juste,
Un parchemin scella le droit august.
Pour l'écrivain, un pacte enfin promis,
Protège ses mots des rapaces amis.
Le copyright dans son berceau anglais,
Nourri de lettres, grandi sans regrets,
Poursuit sa marche dans les siècles parfaits.

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Copyright se lève, un sceptre sous l'éclat,
Souverain des droits, garant de chaque pas,
Il trace les lignes entre partage et vol,
Protège les œuvres sous son fier parasol.
Mais la loi change, évolue, se fait loi,
Et l'ombre des réseaux bouscule son bras.
Il débat, et jauge la nouvelle foi.

Allusion à la "Statute of Anne" de 1710:
Sous la plume d’une reine sage et juste,
Un parchemin scella le droit august.
Pour l'écrivain, un pacte enfin promis,
Protège ses mots des rapaces amis.
Le copyright dans son berceau anglais,
Nourri de lettres, grandi sans regrets,
Poursuit sa marche dans les siècles parfaits.

Les cinq éléments unis dans la loi,
Chantent la force de la terre et de bois.
Le feu créateur brûle dans le cœur,
L’air diffuse l’idée et ses lueurs.
L’eau douce façonne et la Morale pur,
Mais l’éther invisible guide l’allure,
De l’Éthique, reine des âmes sans murs.

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Morale, toi, force aux contours bien cachés,
Tu glisses entre pages des textes régis,
Tu rappelles à l’ordre, tempères les guerres,
Pour que la justice ne devienne misère.
Au cœur des débats, tu guides la vertu,
Pour qu’au nom des droits, nul ne soit déchu,
Car sans toi, la loi ne serait qu’abus.

Joute verbale entre Copyright et Morale:
Copyright: Le monde moderne réclame sa part,
Liberté d'usage ou point de départ.
Qui peut juger la valeur du réseau,
Si tout est pris sans prêter à l’oiseau ?
Morale: Une justice sans âme ni foi
Serait perdue sans la force des lois.
Mais à l’homme, il faut tendre une main,
Sans compassion, tout droit se meurt en vain.

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Éthique, tu crées le pont de l’équilibre,
Entre la règle froide et l’humain libre.
Tu mesures, pèses l’acte et ses racines,
Défends l’idée sans rompre la doctrine.
Dans un monde où les droits sont armes d’acier,
Ton souffle tempère la soif des guerriers.
Sans toi, la justice tournerait au fiel.

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Les cinq se toisent, murmures écorchés,
Tandis que les idées dansent sous leur pied.
Chacun tient sa place, prêt à s’embraser,
Quand l’œuvre est mise au seuil d’être volée.
Que dire alors, quand le doute s’invite,
Où sont les limites, quelle voix médite ?
Qui dicte la loi dans cet étrange rite ?

Métaphore de la blockchain pour la protection des œuvres numériques:
Au sein des câbles et du vaste réseau,
L’Éthique s’ancre dans chaque octet beau.
Blockchain tisse un fil de cristal pur,
Garant de l’œuvre et de tout son futur.
Des codes inscrits au cœur des algorithmes,
Protégeant le savoir dans ces rythmes.
Ainsi l’Éthique veille dans le réseau,
Épargnant à l’art de se perdre à vau-l’eau.

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Droit d'auteur, orgueilleux, clame sa fierté:
C’est moi qui, premier, l’artiste ai protégé!
Propriété sourit d’un air assuré:
Sans moi, le créateur n’aurait d’héritier! 
Copyright, plus sage, prend un ton austère:
Mon règne s’étend au-delà de la terre,
Je trace des frontières aux cieux éthérés!

Joute verbale entre Copyright et Morale:
Copyright: Le monde moderne réclame sa part,
Liberté d'usage ou point de départ.
Qui peut juger la valeur du réseau,
Si tout est pris sans prêter à l’oiseau ?
Morale: Une justice sans âme ni foi
Serait perdue sans la force des lois.
Mais à l’homme, il faut tendre une main,
Sans compassion, tout droit se meurt en vain.

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Mais Morale intervient, voix douce et claire,
Est-il juste de tout sceller par le fer ?
L’artiste n’est-il qu’un marchand de chimères ?
Son don n’est-il pas un souffle universel ?
Chaque loi impose des chaînes cruelles,
La liberté peut parfois être frêle.
Éthique acquiesce, les yeux vers le ciel.

Comme dans 1984, l’ombre plane,
La propriété surveillée, rétame.
Mais Rousseau signe en lettre d’or pur,
Son Contrat Social qui reste sûr.
Car la loi protège les cœurs égaux,
Sous la plume de droit, libérant les maux.

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Si l’œuvre est partagée, alors l’on perd
L’essence première qui la rendait si chère,
Mais que vaut le droit sans aucune clarté ?
Ne soyons pas des tyrans sans liberté.
Ainsi, les cinq parlent, sans fin, sans repos,
Le débat tournoie comme de l’eau sous l'eau.
L’art se perd dans les méandres des mots.

Allusion à Thémis, la déesse de la justice:
Morale avance, balance dans ses mains,
Comme Thémis qui juge les humains.
Équilibre et clarté règnent en sa loi,
Tout est pesé sous son regard de soie.
Les droits, les mœurs, au carrefour du temps,
Se mêlent, se heurtent dans ce chant ardent.
Thémis sourit, forgeant un juste accord,
Et la Morale scelle son juste sort.

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Alors, un sage s’élève du silence,
Écoutant ces voix emplies de prudence.
Loi n’est pas une chaîne, mais un chemin,
Un cadre, une lumière, un bel écrin.
L’artiste se doit de comprendre l’échange,
Entre droit et don, entre cage et ange,
C’est là que l’œuvre trouve son étrange.

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Car Droit d'auteur, dans sa juste balance,
Ne saurait tout dire, sans contredanse.
Propriété protège, mais que sert-elle,
Si l’art ne respire dans l’éternelle ?
Copyright reste, sentinelle fidèle,
Mais doit savoir céder face au ciel.
Ainsi parle celui qui comprend l’aile.

Métaphore de la blockchain pour la protection des œuvres numériques:
Au sein des câbles et du vaste réseau,
L’Éthique s’ancre dans chaque octet beau.
Blockchain tisse un fil de cristal pur,
Garant de l’œuvre et de tout son futur.
Des codes inscrits au cœur des algorithmes,
Protégeant le savoir dans ces rythmes.
Ainsi l’Éthique veille dans le réseau,
Épargnant à l’art de se perdre à vau-l’eau.

Jeux linguistiques avec des termes juridiques:
Le contrat de l’art scellé d’un parchemin,
Sous le sceau du dépôt légal divin.
Nulle contrefaçon ne pourra troubler,
Le dol échoue, incapable d’aimer.
Tout est écrit dans les lignes de l’esprit,
Les termes du droit marquent leur manuscrit.

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Morale s’incline et accepte sa place,
Savoir que le bien ne se tisse en espace,
Sans comprendre l’humain, l’œuvre et la trace.
Éthique, toi aussi, tempère la glace,
Les lois ne sont que reflet de nos vies,
Des miroirs subtils de nos envies,
Un cadre façonné pour l’harmonie.

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Droit d'auteur, Propriété, Copyright,
Morale, Éthique, sont les pierres d’un rite,
Où l’art et l’esprit se fondent en un tout,
Chacune de ces forces murmure au flou
De ce qu’est la création sans l’appui,
D’un cadre où la justice fait épanoui,
L’esprit du créateur qui s’en éblouit.

Référence à la jurisprudence et aux décisions historiques:
Cour suprême en son glaive rendit justice,
La création enfin libre de malice.
Un arrêt fonda l’œuvre sur son piédestal,
Nul ne saurait la priver de son idéal.
Des arrêts marqués à l’encre du droit,
Font vibrer les cordes de l’éternel choix.

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Ainsi, le droit n’est pas simple carcan,
Mais un guide offrant des chemins éclatants.
L’œuvre, bien protégée, peut prendre son vol,
Sans craindre de perdre son auréole.
Et sous la plume, sous la toile et l’écho,
L’artiste respire, déploie son flambeau,
Entre liberté et juste étendard.

Allusion à Thémis, la déesse de la justice :
Morale avance, balance dans ses mains,
Comme Thémis qui juge les humains.
Équilibre et clarté règnent en sa loi,
Tout est pesé sous son regard de soie.
Les droits, les mœurs, au carrefour du temps,
Se mêlent, se heurtent dans ce chant ardent.
Thémis sourit, forgeant un juste accord,
Et la Morale scelle son juste sort.

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Propriété sourit, Morale incline,
Droit d'auteur embrasse Copyright, en fine
Harmonie des lois qui se lient aux corps,
Car chaque texte respire dans l’effort.
Le chemin du juste est celui de l’art,
Où chaque ligne est une étoile d’espoir,
Une justice céleste dans le noir.

Vision du futur juridique:
Demain, l’intelligence des machines naîtra,
Quel droit aura l’algorithme sans bras ?
Le créateur verra son œuvre muter,
Face aux robots, qui sauront imiter.
Mais le droit suivra, dans son firmament,
Pour protéger le talent, éternellement,
L’esprit humain, source de tout élan.

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La balance, en or, s’élève dans le vent,
Les lois se fondent, unissant le savant
À l’artiste, aux droits et à l’univers,
Là où la création trouve son repaire.
L’équilibre est parfait, le cadre absolu,
Dans cette ensemble où rien n’est plus reclus,
Chaque droit chante son hymne éperdu.

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Ainsi naît la loi, dans cette grande danse,
Entre Droit et Morale, en leur patience.
Propriété garde et Copyright protège,
L’artiste flambe, loin des cœurs si prêches.
L’art n’est pas prison, mais un temple d’or,
Où chaque règle éveille un juste trésor,
Pour que l’œuvre s’élève à l’aube encore.

Interaction entre les lois et les nouvelles formes d’art:
Des toiles numériques naissent dans l’ombre,
Les pixels s'animent, immenses et nombreux.
NFT en leur code crypté, éloquent,
Sculptent des mondes que le droit fait ardent.
La Propriété devient pixels flottants,
Éthique et Morale dans l’univers dansant,
Encadrent l’art, pour un avenir changeant.

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Ainsi se conclut ce grand procès divin,
Sous l’œil attentif de l’ancien chemin.
Droit d'auteur, Propriété, Morale et Loi,
Saluent l’artiste qui s’en va dans sa voie.
Car le cadre est clé, mais l’art est plus grand,
Et dans l’éclat du créateur flamboyant,
Les lois deviennent un chant retentissant.

Déclaration de principe juridique:
Voici donc scellé ce pacte ancestral,
Entre le droit, la création, l’idéal.
Que chaque œuvre soit protégée d’un sceau,
Que l’auteur garde son halo,
Et que l’éthique accompagne chaque trait,
Pour que l’art, en tout, reste parfait.

Ainsi le droit vit, dans l’espace sacré,
Porté par le souffle d’un esprit éclairé.

Ainsi finit ce chant sacré du droit,
Où chaque ligne grave sa juste loi.
Que l’œuvre respire sous la garde pure,
Des lois gravées dans l’éther et l’azur.
Les cinq étoiles brillent dans le ciel,
Éclairant l’esprit d’un feu éternel.
Que restera-t-il de l’homme en demain,
Quand les machines créeront sans fin ?
L’art et le droit, symboles éternels,
Resteront gravés sous le ciel,
Tant que l’âme humaine pourra s’élever,
Et que les lois sauront bien la garder.