Notion permettant de compter, de dénombrer des choses, de mesurer des grandeurs ou de classer.
Un nombre impair OUI
Un nombre premier NON
Un carré parfait OUI
Sa racine carrée 100000
Carré 100 000 000 000 000 000 000
Premier Suivant 10 000 000 019
Binaire
1111111 11111111 11111111 11111111
Octal 177 7777 7777
Hexadécimale 7FFF FFFF
Partie 1
Dans l'arène des idées, où le cercle danse avec le carré,
L'artiste, tel un alchimiste, forge la liberté.
Pythagore, sage des mathématiques mystiques,
Guide notre plume, éveille nos esthétiques.
Le cercle, parfait en sa continuité,
Symbole de l'infini, de l'éternité.
Le carré, rigide et structuré,
L'ordre et la logique, il vient apporter.
En ce théâtre d'ombres et de lumières,
Les chiffres dansent, révélant des mystères.
Dix mille millions, nombre prodigieux,
Porteur de secrets, d'un savoir précieux.
Chiffre d'or, harmonie dans les proportions,
Dans cette équation, naît l'art des passions.
Les vers s'enlacent, tissent des équations,
Une symphonie mathématique, une révélation.
Artis Libertatem Circum Quadrata,
Ode à la beauté, à l'ordre, à l'éclat.
Les mots, telles des étoiles dans la nuit,
Dessinent des constellations, un éblouissant circuit.
Dans ce poème, la raison danse avec l'émotion,
Une alchimie parfaite, une nouvelle potion.
Que cet art soit un pont entre ciel et terre,
Où l'esprit s'élève, où l'âme se libère.
Ainsi, dans l'éther des idées éternelles,
Se façonne l'Art, dans sa forme la plus belle.
Partie 2
Dans ce jardin de symboles, où la plume dessine,
Les chiffres, tels des maîtres, révèlent leur doctrine.
Le trois, mystique, danse avec le zéro,
Naissance du nombre, équilibre parfait, tableau.
Le cinq, étoile d'or dans le ciel des nombres,
Fusion de l'art et des sciences, en sombre et en ombre.
Les carrés parfaits, tels des piliers robustes,
Soutiennent l'édifice, où l'âme se dévoile et ajuste.
Chiffre d'or, guide dans ce labyrinthe,
Où chaque vers, chaque rime, chaque épine,
Tissent une toile où se mêlent le réel et l'imaginaire,
Où l'esprit vagabonde, épris d'une douce lumière.
Pythagore sourit, observant son héritage,
Un poème mathématique, une nouvelle page.
Dans l'ombre du carré, la liberté s'épanouit,
Comme une fleur rare, symbole de ce qui la nourrit.
Artis Libertatem Circum Quadrata,
Ode à l'unité, à la diversité, au vaste delta.
Que chaque mot soit une étoile dans ce firmament,
Où la poésie et les nombres dansent éternellement.
Ainsi se poursuit l'épopée, entre cercle et carré,
Une quête infinie où l'âme se laisse emporter.
Partie 3
Sous le regard bienveillant de l'astre solaire,
Les chiffres s'entrelacent, tissant un filaire.
Le sept, mystère sacré, résonne en écho,
Dans l'harmonie parfaite, où tout prend son tempo.
Le neuf, dernier souffle avant la perfection,
Dans cette symphonie, une divine érection.
Les polygones dansent, formant une mosaïque,
Les angles aigus et droits, en une danse magique.
Les spirales, en mouvement perpétuel,
Révèlent l'équation d'un monde essentiel.
Au cœur de cette poésie, la quête persiste,
Comme un mathématicien qui cherche et assiste.
Les nombres premiers, guides énigmatiques,
Ouvrent des portes, des passages fantastiques.
Artis Libertatem Circum Quadrata,
Ode à l'abstrait, à l'infini, à la data.
Les vers, comme des équations en ébullition,
Forment l'alchimie d'une nouvelle création.
Que chaque mot soit une étoile filante,
Traversant le ciel de cette œuvre vibrante.
Ainsi se poursuit la danse des idées,
Où l'art et la science s'entrelacent en beauté.
Partie 4
Dans la matrice des mots, la formule se révèle,
Les ellipses tracent des orbites où l'esprit étincelle.
Le six, symbole de l'harmonie parfaite,
Compose une mélodie où le sens se reflète.
Les fractales s'étirent, comme des rêves infinis,
Chaque itération dévoile des mondes inédits.
Les cercles et les carrés, en une danse folle,
Créent des tableaux où l'âme s'envole.
Partie 5
Sur les ailes du nombre d'or, l'imagination vogue,
Les équations deviennent une fresque en dialogue.
Les puissances exponentielles, comme des éclairs,
Illuminent le chemin vers des univers singuliers.
Le huit, en son infini, boucle la boucle,
Une étreinte éternelle, une danse dans le crépuscule.
Les nombres complexes, tels des artistes abstraits,
Peignent des visions où le réel se fait distrait.
Partie 6
Au sommet de cette pyramide de vers,
La transcendance s'offre en un doux hiver.
Le 10 somme des parties, crée l'ensemble,
Une symphonie où chaque note se ressemble.
Les séquences, valses une danse en spirale,
Un enroulement poétique où chaque ligne s'exhale.
Les nombres parfaits résonnent comme des cloches,
Dans cette cathédrale d'idées, où l'âme s'approche.
Partie 7
Dans l'ultime acte de cette épopée dévoilée,
Les étoiles convergent, la destinée scellée.
Le nombre d'or, tel un phare dans la nuit,
Guide la plume vers des horizons infinis.
Les infiniment petits, les infiniment grands,
Se rejoignent en un poème, en un même chant.
Artis Libertatem Circum Quadrata,
Ode à l'infini, à l'unité, à la data.
Que ce poème soit un éclat dans le cosmos,
Où le savoir et l'imaginaire s'entrelacent en quelque chose de grandiose.
Partie 8
Au sommet de cette pyramide de rêves,
Le chiffre immense, dix milliards, se lève.
Un carré de possibilités, une toile infinie,
Où chaque étoile est une idée, une énergie.
Les vers convergent vers ce point culminant,
Où le carré du nombre danse en tourbillonnant.
Les cycles se ferment, les boucles se lient,
Dans cette symphonie où les destins se fient.
Artis Libertatem Circum Quadrata,
Ode au carré de dix milliards, ô éclat.
Les sommets des sept parties convergent ici,
En un crescendo poétique, en un infini.
Les chiffres, les formules, les symboles s'entrelacent,
Comme les notes d'une mélodie où le temps passe.
Que ce poème soit un témoignage dans l'histoire,
Où l'art et la science écrivent une fin sans déboire.
Ainsi s'achève cette épopée, cette quête magique,
Dans l'ombre du carré, l'âme trouve sa musique.
Que la liberté soit le cercle qui jamais ne rompt,
Dans l'art des nombres, où l'univers se dévoile prompt.
Est un symbole utilisé pour décrire un nombre.
Partie 0
Dans l'orbite du monde, le rond éternel,
Symbole infini, courbe sans fin,
Où débute le cycle, où se tisse le lien,
Le cercle, en son silence, devient le ciel.
Rond parfait, sans début ni déclin,
Dans sa forme, une énigme universelle,
L'unité dans la diversité rebelle,
Une danse cosmique, un doux refrain.
Les anneaux d'or qui lient nos vies,
Tissent l'invisible, trame infinie,
Du rond, l'écho de l'éternité.
Dans ce ballet des formes sans détour,
Le cercle, emblème de la réalité,
Porte en son sein le secret de l'amour.
Partie intermédiaire
Dans la divine proportion, mystère d'or,
Le nombre sacré guide chaque élan,
Sous le soleil d'une géométrie divin,
La nature danse, équilibre son trésor.
Architecte du destin,
Sculpte la perfection dans le chaos,
Un nombre, des chiffres, poème silencieux,
Écrit l'harmonie dans chaque pas.
Des spirales aux pétales délicats,
La symétrie devient une étreinte,
Le nombre symbole, l'univers récite.
Éclat d'une équation, énigme des astres,
La divine proportion, secret des maîtres,
Guide nos rêves vers des horizons vastes.
Phi φ Φ
2 fois le rayon [r] multiplié par 3,14 [π = 3,14]
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