Dans l’ombre froide des trônes de fer,
S’élève la folie aux cœurs austères,
Imposant lois de peur, de doutes amers,
Tissant des chaînes d’ordres militaires.
L’homme se courbe sous le joug sévère,
Ses rêves étouffés sous des mystères,
Par des dirigeants sans regard humain,
Rompant des vies d’un geste inhumain.
Par l’imposition des ordres suprêmes,
Ils dressent des murs d’obligations vaines,
Détournant l’esprit qui se veut bohème,
En asservissant tout sous leurs chaînes.
Nul souffle n’échappe à leurs lois obscènes,
Ces tyrans drapés de raisons malsaines,
Font du devoir une froide prison,
Un gouffre où se perd toute ambition.
Sous les masques de ces fous dominateurs,
Coule le poison de la domination,
Des vies brûlent sous leurs flammes trompeurs,
Victimes d’injuste exaction.
Ils régentent la peur, la corruption,
Ignorant la clameur des nations,
L’homme, brisé par des volontés,
Ne peut que pleurer sa liberté.
Institutions bâties pour l'oppression,
Par des mains avides et des cœurs vides,
Font de la justice une illusion,
Et du savoir un mensonge sordide.
La vérité se fait subtilement bride,
Le sage se voit broyé, perfide,
Car les lois n'ont plus que des décrets froids,
Où la morale est morte sous leurs croix.
Les enseignements se tissent sans éclat,
Où tout est dicté par quelques élus,
Leurs réponses gravées d’un biais sans droit,
Suscitant des réussites confuses.
Le mérite vrai n’est plus reconnu,
Car des écoles, des temples sont vendus,
À ceux qui détiennent l'argent sale corrompu,
Assassinant les cœurs et l’esprit blessé des individus.
Par ce pouvoir de connaître en secret,
On choisit l’élève et sa destinée,
Ciselant les âmes à l'aiguisé trait,
Forçant des chemins d’ombres dessinés.
L’enseignement devient une lignée,
D’un élitisme faux et mesuré,
Où seuls ceux que les puissants ont choisis,
Peuvent effleurer la lumière du fruit.
Pourtant, l’homme rêve d’un matin,
Où la justice sortira des tombes,
Où l’amour serait enfin souverain,
Où chaque âme échappe aux ombres sombres.
Un monde libéré de ces colombes,
Qui portent en elles le masque immonde,
Des autorités faussement divines,
Qui sous leurs ailes, étouffent nos lignes.
Mais la révolte brûle sous les cœurs,
Le jour approche où le sage en fou s’éveillera,
Les chaînes craqueront sous la lueur,
L’ombre d’hier enfin s’enfuira.
Les tyrans perdront leurs sombres appâts,
Le peuple écrira son propre combat,
Unissant la force des opprimés,
Pour retrouver le goût des libertés.
Car l’homme debout, brisant ses entraves,
Redeviendra maître de son destin,
Éloignant de lui ces lois trop graves,
Ce poison imposé par des mains vaines.
Il chantera des rêves souverains,
Libérant enfin ses chaînes d’airain,
Pour élever sa flamme éternelle,
Redonner vie à l’étincelle.
Ils se parent des vertus de la raison,
Mais leur parole est un venin mortel,
Sous des promesses de noble saison,
Ils dissimulent l’étau du cruel.
Leurs discours, un mensonge éternel,
Enchaînent les hommes sous des arcs de fiel,
Faisant croire que l’obéissance est
La seule voie d’un monde juste et vrai.
Par la contrainte ils forgent des royaumes,
Bâtis sur les pleurs, la peur, la douleur,
Le libre choix est devenu fantôme,
Car tout se plie sous leur joug dominateur.
L’individu, vidé de sa valeur,
Devient un pion sous leurs mains imposteurs,
Les droits qu’il croyait inaliénés,
Ne sont plus que des rêves condamnés.
Les lois, sous leurs griffes, se font serviles,
Instruments de leurs sombres ambitions,
Elles dictent la terreur, l'exil vile,
Assassinent toute opposition.
L’injustice se fait institution,
Sous des décrets de fausse raison,
Car celui qui tente de résister
Se voit brisé par l'autorité.
Ils imposent des règles inviolables,
Dressent leurs bannières sanguinaires,
Sous la menace de fouets implacables,
Ils clament la paix, mais sèment la guerre.
Tout s’enchaîne par leurs codes sévères,
L’homme n’est plus qu’un serviteur de fer,
Le monde entier s’écrit sous leurs lois,
Dans une oppression qui n’a plus de foi.
L’éducation se tord sous leur poigne,
Devient outil de manipulation,
Ils façonnent l’esprit que l’on empoigne,
Pour garantir soumission, coercion.
Ceux qui pensent, osant la rébellion,
Sont jetés dans les abysses d’oubli,
Tandis que ceux qui répètent serviles
Obtiennent les honneurs dociles.
Le mérite n’est plus qu’un masque trompeur,
Car tout est acquis par faveur cachée,
Le succès naît dans les mains des menteurs,
Qui savent par avance où tout est tracé.
Les institutions, mains enchevêtrées,
Distribuent les récompenses biaisées,
Ceux qui refusent ces viles voies,
Se trouvent écrasés sous leurs fausses lois.
L’imposition devient l’arme fatale,
Qui brise les rêves d’une vie libre,
Sous la contrainte, la main autoritale
Plonge les esprits dans un gouffre fibre.
L’obligation, telle une loi de marbre,
Étouffe l’âme dans un sombre sabre,
Forçant l’homme à plier sous le fardeau,
D’une vie sans horizon ni cadeau.
Leur pouvoir est un mirage cruel,
Un éclat d’or, mais fait de cendres noires,
Ils promettent un monde essentiel,
Mais tout s’effondre sous leurs sombres gloires.
Ils manipulent les cœurs et les savoirs,
Par des promesses d’illustres espoirs,
Mais chaque chemin qu’ils tracent d’acier
Ne mène qu’à un gouffre condamné.
Pourtant, dans le silence forcé,
Gronde une colère sous l’apparence,
D’un peuple enchaîné, las d’être blessé,
Par l’autorité, sa violence immense.
Un jour viendra où leur arrogance
S’effondrera sous la résistance,
Les tyrans verront leur monde froid
Disparaître sous la clameur des voix.
Car tout pouvoir abusif est une flamme,
Qui, trop nourrie par ses propres excès,
S’éteindra par la force de nos âmes,
Laissera place à des jours parfaits.
Quand l’homme reprendra enfin ses clefs,
L’abus se changera en cendres jetées,
La justice renaîtra, plus pure,
Brisant l’éclat de leurs sombres armures.
Au sommet de leur gloire éphémère,
Les tyrans se croient invincibles,
Leurs mots se font poison et misère,
Leurs actes, des chaînes invisibles.
Mais l’histoire murmure l’infaillible:
Tout pouvoir corrompu devient fragile,
Sous l’abus, les rois, les empereurs
S’effondrent face à l’éveil des cœurs.
Car la folie de l’autorité
N’a jamais construit de royaume juste,
Sous le poids des lois, l’homme est brisé,
Ravalant son rêve d’être auguste.
Les maîtres d’un monde injuste et ruste
Nous laissent des vies d’un noir trop vaste,
Mais chaque cœur qui résiste en secret
Prépare un souffle de liberté.
Le temps viendra, où devant le miroir,
Chacun devra affronter ses démons,
Reconnaître, sous un dur regard,
Les ravages de ses tristes actions.
Les chaînes imposées par l’ambition
Sont des barreaux qui, dans leur prison,
Enferment autant le puissant que l’esclave,
Tous sont perdants dans cette guerre grave.
C’est la folie d’un pouvoir aveuglé,
Qui détruit l’homme et ses droits sacrés,
En oubliant que dans la liberté
Réside la vraie force des années.
Car tout abus n’est qu’un feu condamné,
À consumer jusqu’à l’obscurité
Ceux qui imposent des lois sans vertu,
Qui de la morale n’ont plus vu.
La manipulation par les savoirs,
Des écoles façonnées par des connards,
N’offrent aux hommes que des cauchemars
Où seul l’esclave obéissant accroît.
Mais quand viendra l’heure où, plein d’effroi,
Le tyran verra son masque brisé par loi,
Tomber en cendres sous les cris des insoumis,
Il comprendra ahuri la force qui l’accable.
La vraie justice est celle des cœurs clairs,
Qui refusent de plier sous la crainte,
Qui bravent les puissants, même sévères,
Se dressent, l’âme haute, sans feinte.
C’est dans l’union des âmes éteintes
Que renaîtra l’espoir et sans contrainte,
L’homme retrouvera ce qui lui plaît:
Vivre enfin sans chaînes, libre et vrai.
La moralité, d’un acier forgé,
Se dresse ici, comme ultime réflexion:
Face à l’injustice et aux abus rageurs,
Il faut briser ces noires illusions.
Le vrai pouvoir n’est pas domination,
Il réside dans la libération,
Des esprits, des cœurs, des vies que l’on froisse,
Car c’est la liberté qui nous croisse.
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