Dans les palais, là où siègent les rois,
Des lois se forgent, des décrets s’étalent,
Mais l’homme qui s’enivre de ces droits
Sème souvent des maux qui déraillent.
La justice devient le fer qui poigne,
Non pour sauver, mais pour broyer les voix,
Qui contestent l’empire de la faille.
Boom Strophique
Les institutions, bâties pour servir,
Déforment leurs principes, les détournent.
La loi devient alors une arme qui frappe,
Loin de sa vocation d’équité.
La puissance d’un système centralisé
Écrase l’individu, son unique défense
N’est que silence face à la force aveugle.
Fait Réel
L’affaire des Panama Papers, par exemple,
Révèle comment les plus puissants manipulent
Le système pour détourner la justice à leur profit.
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Sous des masques de vertu affichée,
Les gouvernants dessinent leur victoire,
Ils prétendent pour la paix tout sacrifier,
Mais derrière, se cache un autre pouvoir.
Leurs actes, souvent bien orchestrés,
S'enchaînent avec la froideur du devoir,
Et les peuples subissent sans pouvoir.
Boom Strophique
La moralité devient une ombre floue,
Au service de l'ordre, elle se plie et cède.
Les lois qu'ils créent sont labyrinthiques,
Seul le puissant trouve sa voie aisée.
Le faible, lui, reste prisonnier des tours
Érigées par ceux qui prétendent savoir
Ce qui est bien et ce qui doit mourir.
Fait Réel
Les politiques d’austérité imposées aux nations faibles
Ont montré combien la cruauté économique
Peut se faire sous le couvert de lois légitimes.
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Qu’est donc ce monde où la parole se vend,
Où l’argent dicte la valeur d’une vie ?
Le cri du peuple monte et devient vent,
Mais il se perd dans les couloirs ternis.
L’institution demeure un monstre froid,
Qui broie les âmes, sans raison ni merci,
Le pouvoir aveugle, rien ne le noie.
Boom Strophique:
La force de l’État repose sur sa capacité
À imposer son autorité sans relâche.
Mais lorsque cette autorité s’exerce sans cœur,
Elle se transforme en oppression impitoyable.
Le pouvoir absolu corrompt sans pitié,
Et ceux qui le détiennent oublient souvent
Que leur devoir est avant tout de protéger.
Fait Réel:
Le traitement des lanceurs d’alerte comme Julian Assange
Montre comment les institutions réagissent
Quand leur pouvoir est mis à nu.
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Les droits de chacun sont en apparence clairs,
Mais que vaut un droit sans garantie ?
Lorsqu’une règle est contournée par des fers,
L’illusion de justice est affermie.
Les puissants déploient des jeux de lumière,
Pour maquiller ce qui les sert, d'amnistie,
Pendant que des innocents sont pris dans leurs serres.
Boom Strophique
La justice est une balance fragile,
Elle peut être manipulée par des mains expertes.
Ceux qui détiennent les ressources et le pouvoir
Peuvent aisément faire pencher la balance en leur faveur.
Les lois, pourtant égales en théorie,
S’appliquent différemment selon qui se trouve
Face à l’État, ou protégé derrière ses boucliers.
Fait Réel
L’affaire de la crise des subprimes a démontré
Comment les banques et gouvernements complices
Ont échappé aux conséquences de leurs actes.
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Les promesses d’égalité sont vaines,
Car derrière chaque mot se cache un piège.
Les gouvernements, à force d’efforts vains,
Détournent la justice, deviennent siège
De mensonges, d’intrigues dévastatrices.
Leur pouvoir se renforce dans la haine,
Les innocents paient pour leur prestige.
Boom Strophique
Les systèmes juridiques et politiques,
Qu'ils soient nationaux ou internationaux,
Devraient servir à limiter l'abus de pouvoir.
Cependant, ils sont souvent les outils
Des gouvernements pour asseoir leur contrôle.
Le respect des droits humains devient une façade,
Quand ceux qui doivent les défendre en abusent.
Fait Réel
La guerre en Irak, justifiée par des mensonges,
A montré combien un État peut manipuler
Le droit international pour servir ses propres intérêts.
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Les institutions sont des forteresses,
Elles isolent ceux qui en détiennent les clefs.
Quand le peuple réclame la sagesse,
Ils lui répondent par le mépris des faits.
L’abus se cache sous des mots choisis,
Les lois, distordues, perdent leur souplesse,
Et le droit devient un outil précis.
Boom Strophique
La concentration de pouvoir entre les mains d’un État
Crée des systèmes où la voix du citoyen
Est peu à peu effacée.
Le dialogue devient une illusion,
Car les lois, censées être pour le bien commun,
Sont façonnées pour servir une minorité privilégiée,
Souvent au détriment du reste.
Fait Réel
Les lois votées contre les mouvements de contestation sociale
Démontrent que l’État préfère museler les voix dissidentes
Plutôt que d’entendre les revendications légitimes.
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Dans leurs palais, ils tissent des filets,
Les lois sont comme des toiles invisibles,
À ceux qui passent, on offre des regrets,
Car la liberté devient impossible.
Les chaînes se resserrent lentement,
Au nom du droit, on déclare l'impensable,
Et les peuples sont réduits au silence.
Boom Strophique
L'État a la capacité d’étendre ses lois
De manière subtile, par le biais de nouvelles normes.
Ces normes, bien qu’apparemment anodines,
Finissent par restreindre petit à petit les libertés.
L’individu, face à cette accumulation,
Se retrouve sans voix, pris dans une spirale de règles
Qui enserrent chaque aspect de sa vie.
Fait Réel
Les lois sécuritaires de certains gouvernements,
Votées après des événements tragiques,
Ont souvent mené à des abus de surveillance de masse.
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Les hommes au pouvoir se parent de vertus,
Mais l'habit ne suffit pas à masquer
Les cœurs corrompus de ceux qui ont vu
La faiblesse humaine qu’ils peuvent briser.
La justice devient un jeu cruel,
Où les plus riches s’en sortent impunis,
Et les autres sont piétinés sous ciel.
Boom Strophique:
Les riches et les puissants bénéficient d’un accès
Privilégié à des avocats, à des réseaux,
Et à des systèmes qui leur permettent de contourner
Les lois censées s’appliquer à tous également.
Ceux qui n’ont pas ces moyens sont laissés
Seuls face à une justice froide,
Incapables de défendre leurs droits correctement.
Fait Réel:
Les inégalités flagrantes dans le traitement judiciaire
Entre célébrités et citoyens ordinaires
Rappellent combien la justice peut être biaisée.
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Quand le pouvoir se drape d’un faux éclat,
Les promesses s’envolent comme du vent.
Ils parlent d’avenir et de combat,
Mais c’est l’intérêt qui guide leur camp.
L’État, dans sa puissance hégémonique,
Déforme les lois pour servir son serment,
Non pour le peuple, mais pour le cynique.
Boom Strophique:
Les gouvernements, sous couvert de protection
Et de progrès, utilisent les lois pour assurer
Leurs propres intérêts économiques et politiques.
Les grandes décisions sont souvent prises
Non pour le bien commun, mais pour favoriser
Des multinationales ou des acteurs majeurs
Qui tirent profit des failles légales.
Fait Réel:
Le lobbying des industries pharmaceutiques ou pétrolières
A souvent façonné les politiques publiques
Au détriment de la santé ou de l'environnement.
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Ils disent qu’ils œuvrent pour la paix des cœurs,
Mais la guerre se cache sous leurs discours.
Les peuples souffrent, meurent dans la douleur,
Tandis qu’eux festoient sans voir le contour
De la destruction qu’ils ont semée.
L’État, puissant, écrase les faiblesses
Des nations qu’il enchaîne sous son joug.
Boom Strophique:
Les conflits armés sont souvent justifiés
Par des raisons d’État ou de sécurité nationale.
Cependant, en arrière-plan, il est évident
Que les intérêts économiques et géopolitiques
Dominent les décisions, entraînant des peuples
Dans des guerres qui les dépassent, sans issue.
Les promesses de paix se muent en tyrannie de guerre.
Fait Réel:
Les interventions militaires pour des raisons humanitaires,
Comme en Libye ou en Irak, ont souvent dissimulé
Des intérêts stratégiques et économiques sous-jacents.
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Les droits, sous leurs mains, sont devenus des cendres,
Des poussières éparpillées par leurs vents.
Ils façonnent des lois pour tout fendre,
Pour diviser les faibles du courant.
La force se moque de l’humanité,
Et les institutions écrasent les gens
Qui osent seulement lever la tête.
Boom Strophique:
Les États légifèrent pour restreindre les mouvements
De contestation sociale, rendant illégales
Certaines formes de protestation ou de désobéissance civile.
Ces mesures visent à maintenir l’ordre établi
En étouffant toute voix dissidente.
La répression devient une arme légale,
Justifiée sous prétexte de sécurité publique.
Faits Réel:
Les lois anti-manifestations dans plusieurs pays,
Rendant illégales des marches pacifiques,
Montrent l’utilisation de la loi pour museler la dissidence.
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Au nom de la sécurité, ils tissent
Des réseaux de surveillance sans fin.
Ils savent tout, rien ne leur échappe,
Et les libertés se perdent en chemin.
Les peuples sont traqués, espionnés,
L’État devient l’œil qui tout dissèque,
Sans jugement, ils brisent les âmes vaines.
Boom Strophique
Les technologies de surveillance de masse,
Utilisées par certains gouvernements,
Entraînent une diminution des libertés individuelles.
Sous prétexte de lutter contre le terrorisme ou le crime,
Les États ont créé des systèmes de surveillance
Qui infiltrent chaque aspect de la vie privée,
Transformant les citoyens en sujets sous contrôle.
Fait Réel:
Les révélations de Snowden sur la NSA ont démontré
Que des millions de personnes sont surveillées,
Même sans suspicion préalable de crime.
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La loi devient une arme politique,
Faite pour servir ceux qui sont au sommet.
Ceux qui contestent deviennent des cibles,
Traités comme des ennemis à jamais.
Ils utilisent la force pour réduire
Toute opposition à leur volonté,
Et la justice devient un mensonge pur.
Boom Strophique:
L’utilisation de la loi pour criminaliser l’opposition
Politique est un phénomène courant dans les régimes
Autoritaires. Les lois anti-terroristes ou anti-séparatistes
Sont souvent appliquées de manière abusive
Pour faire taire les voix dissidentes et les mouvements
De contestation, empêchant ainsi tout changement.
La loi, censée être neutre, devient un outil de répression.
Fait Réel:
La répression des opposants politiques en Russie
Ou en Turquie montre comment les gouvernements
Utilisent les lois pour se maintenir au pouvoir.
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Ils parlent d’équité, mais c’est un leurre,
Leur justice est aveugle par dessein.
Elle sert ceux qui la détournent sans peur,
Tandis que les faibles restent en chemin.
La loi devient une toile d’araignée,
Dans laquelle se débattent en vain
Ceux qui espéraient un soutien vrai.
Boom Strophique:
La complexité des systèmes légaux rend difficile
L’accès à la justice pour ceux qui n’ont pas
Les moyens financiers ou les connaissances nécessaires.
Les élites, quant à elles, ont les ressources
Pour contourner ou utiliser les lois à leur avantage,
Ce qui crée un fossé grandissant entre les citoyens
Et l'État qui est censé les protéger.
Fait Réel:
Les scandales de corruption dans de nombreux pays
Montrent comment ceux au sommet manipulent
Les lois pour éviter toute conséquence légale.
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Le pouvoir ne se soucie plus du juste,
Il ne voit que ses propres intérêts.
Les peuples sont écrasés sous les lustres,
Et les décisions se prennent en secret.
Les lois deviennent un langage obscur,
Réservé à ceux qui savent les plier
Pour qu’elles servent leur sombre futur.
Boom Strophique:
Le manque de transparence dans la création des lois
Est souvent un signe d’abus de pouvoir.
Les décisions prises en coulisses échappent au contrôle
Du public, rendant les institutions
De plus en plus opaques.
Ce manque de clarté permet aux puissants
De renforcer leur influence sans opposition.
Fait Réel:
Les négociations secrètes sur les accords commerciaux
Internationaux, comme le TTIP, ont montré
Combien les gouvernements cachent leurs véritables intentions.
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Ils disent que tout est pour le bien commun,
Mais le commun n’a plus de place ici.
Les lois qu’ils écrivent sont sans parfum,
Juste des outils pour leur propre survie.
Les peuples sont réduits à des pions,
Des entités sans voix ni même envie,
Car l’État a englouti leur union.
Boom Strophique:
Les gouvernements se drapent souvent du discours
Du bien commun pour justifier des lois qui,
En réalité, ne profitent qu’à une minorité.
Cette manipulation du langage crée une illusion
De justice et d’équité, mais cache la véritable
Nature de ces décisions qui renforcent les inégalités
Et marginalisent les citoyens les plus vulnérables.
Fait Réel:
La privatisation des services publics essentiels
Sous couvert d'efficacité a souvent entraîné
Une baisse de qualité et un accès plus restreint
Pour les populations les plus pauvres.
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Sous couvert d’un discours plein de morale,
Ils mènent les peuples à l’agonie,
Leur loi est un carcan qui détale
Le moindre souffle de vraie démocratie.
Ils promettent une égalité,
Mais en coulisses, ils trahissent sans bruit,
Et les cœurs s’éteignent dans l’impiété.
Boom Strophique:
Le langage moral employé par les institutions
Cache souvent un manque flagrant d’actions concrètes.
Les droits universels et l’égalité
Sont des concepts souvent évoqués mais rarement
Appliqués de manière sincère et juste.
La loi, dans sa forme la plus perverse,
Devient un outil pour consolider les inégalités.
Fait Réel:
Les promesses de réformes sociales dans certains pays
Sont souvent accompagnées de lois qui, en réalité,
Aggravent la situation des plus démunis.
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Leur arrogance est telle qu'ils se croient dieux,
Maniant des pouvoirs sans limite aucune,
Sur la terre, le ciel et même les cieux,
Ils osent imposer leurs lois, inhumaines.
L'État, devenu une machine sourde,
N'écoute plus les cris des opprimés,
Et la loi devient une arme absurde.
Boom Strophique:
Les institutions, en accumulant des pouvoirs
Trop vastes, finissent par dépasser leur rôle initial.
Le pouvoir devient alors une fin en soi,
Sans égard pour ceux qu’il est censé servir.
Les lois, qui devaient être des garde-fous,
Sont dévoyées pour permettre à ces institutions
De consolider leur domination sur toutes les sphères de la société.
Fait Réel:
L'expansion excessive des pouvoirs exécutifs
Dans certains régimes autoritaires,
Comme en Chine ou en Corée du Nord,
Démontre comment un État peut s'arroger
Des droits quasi-divins sur la vie de ses citoyens.
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Il reste un espoir, infime lumière,
Que l’humain un jour se réveille enfin.
Que dans ses mains il reprenne la terre,
Et rejette ces lois au sombre destin.
Le pouvoir, sans âme ni compassion,
Ne saurait durer dans l’éternité,
Car le cœur libre bat pour l’émancipation.
Boom Strophique:
Même dans les systèmes les plus oppressifs,
L’espoir d’un changement demeure.
Les lois, bien qu’elles soient utilisées
Pour maintenir un ordre injuste,
Peuvent aussi devenir des instruments
De libération si elles sont reprises
Par le peuple dans une quête de justice.
Fait Réel:
Les révolutions populaires, comme le Printemps arabe,
Ont montré que malgré des décennies de répression,
Les peuples peuvent se lever pour réclamer
Leur droit à la liberté et à la justice.
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Contre-Offensive:
Nous leur tendons un miroir immuable,
Pour qu’ils scrutent leurs actes infâmes et vains.
La Déclaration des Droits inaltérable
Qu’ils foulent chaque jour, en ombres et en chagrins.
Les pactes universels, scellés par l’ONU,
Ne sont-ils que des mots écrits pour être enfreints ?
L’égalité, la paix sont des rêves rompus.
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, Article 1:
"Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits."
Comment justifient-ils ces écarts si larges
Entre l’élite et ceux qu’ils maintiennent en cage ?
Les lois sont là, claires, sous leur propre regard,
Mais dans leur royaume, elles sont des mirages.
Ils s’arrogent le droit d’opprimer autrui,
Tandis que la justice, aveugle, est vendue.
Les libertés fondamentales, sous leurs cris,
S’effritent et les peuples demeurent perdus.
Que disent donc ces pactes signés en vain ?
Le droit à l’existence, la liberté de choix,
Ne sont plus qu’illusions dans leurs mauvais desseins.
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, Article 3:
"Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté."
Là où la peur règne, où l’État contrôle tout,
Comment parler de sûreté et de liberté ?
Les lois, les conventions, forgées pour protéger,
Sont devenues des armes, dirigées contre tous.
Leur contrôle s’étend sur toutes les sphères,
Saisissant nos corps, nos âmes, nos esprits.
Le pacte signé pour maintenir la terre
Sous paix, justice, devient un vain débris.
Ils ont juré devant les nations unies,
Promettant de respecter la dignité,
Mais leurs actions trahissent leur ignominie.
Charte des Nations Unies, Article 1:
"L'Organisation des Nations Unies a pour but de maintenir la paix et la sécurité internationale."
Qu’ont-ils fait des droits, de la sécurité ?
La paix, sous leurs lois, n’est qu’un souvenir.
La guerre qu’ils mènent est subtile, sans cri,
Mais laisse des traces de sang et des soupirs.
Ils bafouent le droit de vivre sans entrave,
Exerçant des pouvoirs cruels et absolus.
Les peuples, soumis à des chaînes ingrates,
Subissent en silence, des cris retenus.
Pourtant, la Charte est claire et sans fléchir,
Elle proclame que tout homme est protégé
De la tyrannie qui vient pour asservir.
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, Article 5:
"Nul ne sera soumis à la torture, ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants."
Or, combien de fois ont-ils ignoré ces lois,
Perpétuant la souffrance sous couvert de droit ?
La torture n’est pas toujours physique,
Elle peut être légale, froide et cynique.
Quand l’État se mue en oppresseur cruel,
Les Droits de l’Homme ne sont plus que chimères.
Ils répriment, contrôlent par la force brutale,
Cloisonnant les vies sous des lois arbitraires.
L'ONU avait promis de garantir la paix,
Mais ces serments n'ont plus aucun reflet
Dans les actes de ceux qui brisent tout procès.
Charte des Nations Unies, Article 55:
"L'ONU favorise le respect universel et effectif des droits de l'Homme et des libertés fondamentales."
Comment réconcilier cet idéal
Avec l’injustice qu'ils infligent aux masses ?
Le respect n'est plus qu'une façade,
Derrière laquelle l'oppression s’enlace.
L’heure est venue de rendre des comptes,
À ces nations qui nient les droits les plus élémentaires.
Ils se sont faits juges, jurés, sans honte,
Ignorant la Charte qu’ils signèrent hier.
Leurs ingéniosités doivent désormais servir
À construire des systèmes où tous peuvent prospérer,
Plutôt que d’accumuler pouvoir et empire.
Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, Article 22:
"Chacun, en tant que membre de la société, a droit à la sécurité sociale."
Pourquoi donc ces millions restent-ils démunis,
Tandis que d’autres jouissent de tout et rient ?
Le droit de chacun à une existence digne
Est une promesse, trop souvent non signée.
Ils devraient utiliser leur intelligence,
Non pour asservir, mais pour libérer,
Mettre en œuvre des systèmes où l’abondance
Serait accessible à tous sans danger.
Un simple clic pourrait transformer des vies,
Si leur génie se tournait vers l’humain,
Vers une vraie justice, un espoir infini.
Charte des Nations Unies, Préambule:
"Nous, peuples des Nations Unies, résolus à préserver les générations futures du fléau de la guerre…"
Le fléau qu'ils créent est moral et subtil,
Mais il n’en est pas moins un danger civil.
Reprenez vos promesses, relevez la tête,
Et prouvez que vos actes ne sont pas que vaines miettes.
Conclusion: Le courage d'agir avec humanité
Les lois sont claires, elles existent pour tous,
Et pourtant, elles sont ignorées chaque jour.
L’abus de pouvoir, s’il n’est pas combattu,
Étouffe la justice, érode l’amour.
Ces leaders si intelligents dans la cruauté,
Oseront-ils enfin faire preuve de bonté,
Et bâtir un monde où la dignité est sauve ?
Leur courage sera mesuré non par la force,
Mais par leur capacité à tendre la main,
À renverser leurs systèmes froids et torves,
Et à offrir aux peuples un réel chemin.
Qu'ils utilisent leur pouvoir pour faire un clic,
Et rendre au monde un avenir pacifique.
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