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Pommes de terre et maïs

Sous la terre, le désir se fait racine,
La pomme de terre, ronde et charnue, se déploie,
Évoquant les courbes pleines de l’envie féminine,
Le maïs, dressé, érigé, prêt à pénétrer la soie.

Chaque grain éclate, une promesse de jouissance,
Sous les doigts, il devient peau, devient corps,
Un épi doré caresse, ravive la conscience,
L’union des deux, c’est l’extase, c’est le fort.

Tomates et aubergine

La tomate, pulpeuse, s’ouvre en une bouche rouge,
Un fruit éclatant de désirs cachés sous la peau,
L’aubergine, longue et sombre, glisse, elle bouge,
Dans la chair juteuse, elle s’enfonce, chaud.

Les gouttes écarlates suintent, coulent, s’écoulent,
Le jus de la passion s’étale, se répand,
L’aubergine se fait phallus, se fait courbes,
La chair s’unie, s’embrase, s’étire à l’infini.

Olives et concombre

Les olives, petites perles, seins en éveil,
Roulent sous les doigts, brillantes, luisantes,
Le concombre, ferme, se dresse sans sommeil,
Explorant les replis, la chair haletante.

Une bouchée d’olive, salée comme le désir,
Le concombre s’insinue, conquiert le terrain,
Les deux ensemble créent un empire,
Un jardin secret où rien ne retient la main.

Oignons et carotte

L’oignon, une couche après l’autre se défait,
Comme un amant dévêtant sa maîtresse,
La carotte, rigide, entre avec fierté,
Dans les plis, explore la souplesse.

Le parfum de l’oignon enivre les sens,
Il fait pleurer, il fait gémir en silence,
La carotte enfonce sa lance en cadence,
L’union des deux, un hymne à l’indécence.

Grains de café

Les grains de café, petits tétons serrés,
Bruns et amers, excitent la langue,
Chaque baiser réveille, rend la peau enflammée,
Un goût de nuit, de passion qui tangue.

Le corps se fait tasse, prêt à recevoir,
L’élixir brûlant qui s’échappe,
Chaque gorgée, un feu, un espoir,
De plonger encore dans cette fièvre qui frappe.

Orange et fraise

L’orange, sphère juteuse, pleine d’envie,
Ses quartiers s’ouvrent, la chair dégouline,
La fraise, en son sommet une graine, un cri,
Un fruit rouge comme les lèvres divines.

Les deux ensemble, une danse érotique,
L’acide et le sucré, un jeu sensuel,
Chaque bouchée est un baiser mystique,
Une fusion parfaite, un moment charnel.

Avocat et petits pois

L’avocat, doux comme une caresse,
Sa chair verte, lisse, appelle les doigts,
Les petits pois, verts, ronds, pleins de tendresse,
S’éparpillent, des baisers sur chaque endroit.

L’avocat s’ouvre, s’offre, se fait lit,
Les petits pois, des perles de plaisir,
S’infiltrent, roulent, se fondent dans l’esprit,
Un lit de verdure, un océan de désirs.

Poire et radis

La poire, tendre et juteuse, se fait fesse,
Le radis, rouge et blanc, une pointe d’audace,
Il perce, il pénètre, avec délicatesse,
Le jus de la poire éclate en une nuée vorace.

Les lèvres goûtent, savourent chaque goutte,
Le radis s’enfonce, explose sous la langue,
La poire se plie, s’arque dans la déroute,
Les deux ensemble, une danse qui s’allonge.

#Cette série de poèmes t'inspirera et éveillera tes sens comme il se doit. En jouant encore plus intensément avec les métaphores sensuelles. Voici quelques poèmes supplémentaires pour enflammer les sens et éveiller les passions.

Cerises et banane

Les cerises, deux globes tendus, pleins de promesses,
Leurs tiges s’entrelacent, s’enlacent, s’embrassent,
Rouges, sucrées, prêtes à céder sous la pression,
La banane, érigée, glisse entre les chairs en passion.

Elle écarte les cerises, les étreint, les unit,
Sous sa peau jaune, une pulsion se dresse,
Chaque cerise s’ouvre, se gonfle de plaisir,
La banane pénètre, ravissant, pressant l'extase.

Mangue et framboises

La mangue, dorée, mûre, éclatante,
Se fendue en deux, dévoilant sa chair fondante,
Les framboises, petites perles de plaisir,
Se pressent contre elle, rougissantes de désir.

Le jus de la mangue coule, glisse le long des lèvres,
Les framboises roulent, se fondent, caresses légères,
Une bouchée, un soupir, une explosion sucrée,
Leur union est une symphonie, une danse effrénée.

Pamplemousse et piment

Le pamplemousse, rond, plein d’amertume,
Ses quartiers se dévoilent, prêts à être goûtés,
Le piment, enflammé, brûle d’une ardeur qui consume,
Se glisse entre les segments, prêt à tout bouleverser.

Le pamplemousse se tend, se crispant sous le feu,
Chaque morsure est une onde de chaleur,
Le piment pénètre, fait rougir le milieu,
Ensemble, ils créent un tourbillon de douce douleur.

Raisin et courgette

Le raisin, grappe alanguie, lourde de désir,
Chaque grain éclate sous la langue avide,
La courgette, longue, ferme, pleine de soupir,
Se faufile entre les grains, caresse humide.

Les grains roulent, s'écrasent sous la pression,
La courgette s’enfonce, creuse un sillon de plaisir,
Un frottement, un glissement, une exultation,
Leur étreinte est lente, brûlante, à se languir.

Pêche et ananas

La pêche, douce comme la peau, une caresse,
Se fendue en deux, offre son noyau secret,
L’ananas, rugueux, s’approche avec adresse,
Son tranchant effleure, provoque des cris feutrés.

La pêche se plie sous le poids des griffures,
L’ananas érafle, pénètre chaque courbe,
Un mélange de douceur et de morsures,
Leurs corps s’entrelacent dans une danse superbe.

Kaki et gingembre

Le kaki, orange, lisse, une peau parfaite,
Sa chair cache une chaleur à peine voilée,
Le gingembre, racine brute, une force prête,
A s'insinuer, à éveiller la chair enflammée.

Le kaki se laisse mordre, doucement dévoré,
Son jus coule, sucré, enivrant le palais,
Le gingembre, épicé, brûle chaque recoin,
Leur union est un éclat, un feu qui ne s’éteint.

Nectarine et betterave

La nectarine, satinée, douce sous les doigts,
Sa chair juteuse appelle des baisers profonds,
La betterave, rouge, terreuse, pleine de foi,
Creuse une trace, un chemin sans fond.

La nectarine frémit sous la caresse impudique,
La betterave saigne, colore le désir,
Chaque mouvement est une vague électrique,
Leur union, une explosion, un pur plaisir.

Pastèque et courge

La pastèque, lourde, éclate en une vague de suc,
Sa chair rouge, vibrante, appelle les lèvres,
La courge, épaisse, ferme, se dresse, audace nue,
Prête à pénétrer, à se noyer dans cette sève.

La pastèque se fend, s’ouvre en un cri muet,
La courge entre, s’enfonce dans cette mer rouge,
Leur danse est un acte de pure volupté,
Un déluge de plaisir où tout se bouge.