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l'ancienne ancienne école évolua
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Une nouvelle ère
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Vis le jour
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Musée Numérique
in lucidum faciem tuam
Dans ta tronche lumineuse

La quantité du chiffre par le nombreoule nombre par la quantité du chiffreoula quantité du nombre par le chiffre

Omniprésentpartout et nulle partla pluie quand elle mouillele vent dans son soufflele soleil qui éblouità travers tes lunettes UV

Depuisl'éternellement infiniau commencement de toutes chosesà l'éternellement infini

JE u MOI = NOUSetinversementNOUS = MOI u JEetproportionnellementMOI u NOUS = JE

Il est vraique1 + 1 = 2mais il est vrai aussique1 + 1 = 3ainsi que1 + 1 = 1 

Scripturam

Graphological

Démystification de l'absurditéContemporain Constat

 

 

 

Chaque goutte de sueur, un chemin d'effort,
Pour nourrir l'injustice, je suis corps et décor.
Le fouet invisible commande mes pas,
Promesse de chance qui n'existe pas,
Le bonheur dépend du sort qu'on m'octroie,
Mais à quel prix ? L'espoir me déçoit.

 

La chance, dit-on, favorise les vaillants,
Mais n'est-ce qu'un masque sur l'or, l'argent, des puissants ?
Sous le joug d'une promesse qui nous ment,
Le succès est flous et toujours décevant.
Les heures volées à la vie qui s'enfuit,
La liberté prêtée à cette mascarade sans bruit,
S'efforce de me faire rêver à un ciel ébloui,
Bien la encore un mirage, ce n'est pas une vie.

 

Le dur labeur forge l'illusion d'espoir,
Rêver de liberté nous tient en devoir,
Dans cette course vaine où l'on doit s'asseoir,
L'esclave moderne applaudit le déboire.
Obligation de résilience, dans le silence docile,
L'esprit résigné à des rituels vils,
La réussite n'est pas chance, mais fruit d'un exil,
De soi-même, vers des promesses d'un peut être fragile.

 

Je me plie sans cesse à ces vides serments,
Sous des cieux ternis par des paroles apostrophant,
Au bout du chemin, aucun éclat brillant,
L'espoir est un leurre et obligé je rester consentant.
Le rêve collectif nourrit l'imposture,
Chaque jour que je donne, un peu plus me dure,
Dans le grand mensonge, la lutte est obscure,
Les vils prospèrent, et mon être endure.

 

Ils ne sont que des hommes, vêtus d’apparats,
Leurs titres volés, nés de sangs et combats,
Aucun droit divin ne couronne leurs pas,
Le pouvoir s’écrit par l’histoire des bras.
Rien n’est légitime dans ce grand théâtre,
Où le peuple se courbe sous l’éclatâtes,
Ils se croient rois, mais ne sont que des apartés,
Jouant aux dieux sur nos vies qu’ils maltraitent.

 

L’histoire est un fardeau, tissée de douleurs,
Ces droits arrachés, forgés par la terreur,
Ils parlent d’État, de paix, de grand honneur,
Mais sous ces discours, l’injustice demeure.
Nul homme n’est né pour régner sur l’autre,
Ce droit qu’ils s’arrogent, qu’ils piquent des apôtres,
Seuls leurs ancêtres en ont payé les fautes,
Par le feu, par l’acier et le sang des nôtres.

 

Leur règne n’est qu’un masque peint d’artifices,
Ils ne sont pas rois, seulement des complices,
De la grande illusion, du vice en service,
Leurs sceptres sont d’acier, forgés par malice.
Rien de divin dans leur fausse majesté,
Les lois qu’ils dictent ne sont que vanité,
Leurs trônes s’élèvent sur la cruauté,
De siècles meurtris, de guerres à jamais.

 

Ils ne sont que poussière, hommes en sursis,
Leur gloire érigée sur les corps endurcis,
Leurs règnes couronnent la peur et le souci,
Nul droit sur l’homme, seuls crimes impunis.
Nous sommes des peuples et non des sujets,
Les chaînes qu’ils imposent ne sont que projets,
D’une autorité volée dans le trajet,
De l’histoire fausse, déguisée de regrets.

 

Ils sont fous, ces hommes qui croient maîtriser,
Nos vies, nos libertés qu'ils veulent briser,
Sous des lois qu’ils forgent pour mieux nous lier,
Protecteurs d’eux-mêmes, ils savent bien démentir.
Leur monde s’écrit par des mots venimeux,
Pour chaque espoir brisé, des rêves peureux,
Ils tissent des filets, vastes et hideux,
Où l’homme devient simple pion capiteux.

 

Ces lois qu’ils créent ne sont que des prisons,
Pour nous museler, effacer la raison,
Ils jouent aux maîtres, préservent leurs saisons,
Tandis que le peuple endure sans raison.
Quand leur règne vacille, ils dressent des murs,
Des règles acérées pour rendre l’impur,
Nos vies confinées, ils rient en augures,
Car sous leurs règles, le mal est toujours sûr.

 

Leur folie est grande et leur peur plus vaste,
Ils savent que leur trône n'est qu'une impasse,
Alors ils détruisent et jamais ne se lasse,
La loi devient arme et leur cœur menace.
Leurs mains couvertes du sang de la nation,
Ils nous divisent pour que nous soyons pions,
Mais sous cette rage, un vent de rébellion,
Nous souffle que leur empire est un bastion.

 

Dans leurs palais d'argents souillés, ils forgent nos tourments,
Loi après loi, pour protéger leurs rangs,
Chaque mot qu’ils tracent est pour un seul camp,
Le leur, celui des puissants arrogants.
Ils craignent le réveil des voix qu'ils ont tuées,
Alors ils imposent des règles brisées,
Chaque loi qu'ils dressent, fausse vérité,
Étouffe l'âme, la liberté piégée.

 

Ils oppriment, ils soumettent par la terreur,
Leur folie est douce à ceux qui les effleurent,
Mais pour nous, ils préparent des jours de peur,
Car leur seul but est d'étouffer le cœur.
Ils se protègent derrière des remparts,
De lois qu’ils changent, qu’ils distordent sans fard,
Nous laissant sous le joug d’un pouvoir hagard,
Danger pour tous, hier, aujourd'hui et plus tard.

 

Il y a bien assez, pour tous et partout,
Des richesses gardées dans l’ombre des fous,
Les coffres sont pleins jusqu'au bout,
Mais pour nous, des miettes, un festin dissous.
Depuis des siècles, ils amassent en silence,
Sur nos dos courbés, ils bâtissent leur chance,
Chaque goutte de sueur paye leur aisance,
Tandis qu'ils nous laissent sans récompense.

 

Le gâteau est grand, plus vaste qu'il ne faut,
Mais ils le gardent, protégés sous des sceaux,
Ceux qui gouvernent jouent à ce grand jeu faux,
Accumuler l’or, l'argent, les richesses, nous maintenir la tête sous l'eau.
Chaque pièce amassée est notre souffrance,
Fruit de l’histoire, de leur grande arrogance,
Mais nous avons droit à part de l’abondance,
Pour enfin que cesse enfin cette indifférence.

 

Il y a assez pour que chacun d'entre nous,
Vive heureux, sans peur, sans ces combats si flous,
Leur règne de misère, si vieux et si fou,
Pourrait s’éteindre et tout deviendrait doux.
Les générations à venir, en paix,
Pourraient s’épanouir, sans besoin ni contrée,
Les trésors cachés sont bien plus qu’assez,
Pour nourrir demain, l'après demain, et tous les lendemains.

 

Les États, depuis longtemps, ont trop cotisé,
Accumuler l’or, l'argent, au prix des vies brisées,
Ils pourraient partager sans peur d’être usés,
Mais préfèrent tenir le peuple paralysé.
Leur fortune est bâtie sur notre labeur,
Ils parlent de dettes, mais c’est notre sueur,
Qui a rempli leurs caisses et leurs vains honneurs,
Alors que pour nous, rien, sinon la douleur.

 

Tout humain mérite une part de bonheur,
Il n'y a pas de manque, seulement la peur,
Qu’ils partagent enfin ces trésors trompeurs,
Qu’ils libèrent l’or, l'argent, pour des jours meilleurs.
Ils pourraient nous offrir la prospérité,
Sans travail, sans chaîne, sans précarité,
Il y a assez pour combler l’humanité,
Pour que chaque enfant voie l’éternité.

 

Le futur est là, entre leurs deux mains,
Ils cachent l’opulence, éloignent demain,
Mais si la vérité s’éclairait soudain,
Nous verrions qu’ils mentent, qu’ils sont inhumains.
Les trésors du monde ne sont pas à eux,
Ils appartiennent aux peuples et aux cieux,
Assez pour tous, pour des lendemains heureux,
Pour que chaque être goûte un peu de bleu.

 

Le jour viendra où nous serons un,
Le voile se lèvera, tout sera vain,
Leurs mensonges fondront sous l'unisson commun,
Le peuple verra, que du feu, il n'est point besoin.
Nous n’aurons plus peur de leurs vaines menaces,
Car nous aurons su ce que l’or, l'argent, dissimule,
Les chaînes brisées, leurs lois seront caduques,
Leurs trônes de sable, érigés en impasses.

 

La révolte ne viendra pas par le fer,
Ni par les armes, mais par un cri sincère,
Un cri de justice, un cri de lumière,
Qui dénoncera leur monde solitaire.
Nous réclamerons ce qui nous revient,
Ce droit à l’existence, à vivre enfin bien,
Pas de guerres, de sang, juste un commun lien,
Pour briser l’emprise d'un pouvoir fou ancien.

 

L’illusion tombera, leurs lois deviendront,
Des spectres, des vestiges de leurs prétentions,
Car dans l’unité, nous ferons front commun,
Reprendrons l'ayant droit, du gâteau notre portion.
Le futur se bâtira sans leur ombre, mesquine,
Un monde plus juste où rien ne sombre, mesquine,
Où l’or, l'argent, circulera, partage fécond,
Pour qu’enfin chacun puisse, croquer ça part du bon.

 

Les siècles de leur règne seront effacés,
Par la simple force des cœurs déliés,
Leurs coffres ouverts, tout sera partagé,
Il n’y aura plus de peuples affamés.
La richesse dors sous leur tyrannie,
Mais nous la réveillerons, fière harmonie,
L’humanité renaîtra de cette omni,
Libérée du joug, unifiée sans bruit.

 

Car ils ont peur, c’est leur ultime faiblesse,
Ils craignent que le monde, dans son ivresse,
Se lève et demande la fin de l’espèce,
Qui asservit, divise et crée la tristesse.
Ils savent bien qu’ils ne peuvent tout cacher,
Que leurs trésors sont bâtis sur des péchés,
Que le jour où nous serons éveillés,
Leurs lois, leurs pièges, tout sera balayé.

 

La Terre est vaste, ses fruits sont infinis,
Il y en a assez pour tous, pour l’avenir défini,
Plus besoin de calculer nos lendemains, à jeuni,
Il suffit de s’unir, de s’éclaircir, de pousser un cri.
Le pouvoir n’est plus dans leurs mains de faux rois,
Car il repose en chaque être ici-bas,
Dans le partage, la justice et la loi,
D’un monde uni, libre des anciens fous froids.

 

 

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