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Musée Numérique
in lucidum faciem tuam
Dans ta tronche lumineuse

La quantité du chiffre par le nombreoule nombre par la quantité du chiffreoula quantité du nombre par le chiffre

Omniprésentpartout et nulle partla pluie quand elle mouillele vent dans son soufflele soleil qui éblouità travers tes lunettes UV

Depuisl'éternellement infiniau commencement de toutes chosesà l'éternellement infini

JE u MOI = NOUSetinversementNOUS = MOI u JEetproportionnellementMOI u NOUS = JE

Il est vraique1 + 1 = 2mais il est vrai aussique1 + 1 = 3ainsi que1 + 1 = 1 

Graphological

Scripturam

MetallumExpansions I II III IV V

 

 

Sous l’éclat pur de l’or, le monde s’éveille,
Ses reflets dansent, pareils à des soleils.
Sa lumière douce caresse les contours,
Des montagnes aux mers, il éclaire le jour.
Métal des sages, il traverse les âges,
Transformant le vulgaire en lumière, en ouvrage.
Parmi les pierres, il se distingue, précieux,
Lueur éternelle, calme et silencieux.
Le métal s’impose, dense, éclatant,
Il capte les regards, immuable, brillant.
Dans son poids réside une force endormie,
Il sculpte les formes avec une étrange harmonie.

 

Le cuivre, ardent, compagnon des heures,
Brille d'un rouge vif, vibrant de chaleur.
Compagnon fidèle des forges et des guerres,
Il porte le feu qui fait trembler la terre.
Dans les roches, il coule en fils infinis,
Son éclat discret nourrit l’énergie.
Dans les circuits cachés, il circule sans bruit,
De la terre au ciel, il unit et relie.
Sa teinte change avec le souffle du temps,
Passant du feu frais aux tons vieillissants.
Métal des connexions, des forces discrètes,
Il conduit la vie, invisible, parfaite.
Dans chaque coin du monde, il forge des liens,
Tissant la trame d’un grand réseau ancien.

 

Dans les veines des hommes, il circule, vital,
Union sacrée du terrestre et du métal.
Il dompte la foudre, canalise l’énergie,
Tissant les mondes avec une alchimie infinie.
De la forge à la lyre, son chant résonne,
Il unit le bruit et la vie qui bourgeonne.
Premier des métaux, il sculpte la civilisation,
Souffle ardent qui maintient l’harmonie des nations.

 

L'argent, plus discret, mais tout aussi pur,
S'élève en éclat, miroir de l'azur.
Il serpente en lumière sur des rivières sûres,
Symbole d’échanges, murmure sans murmure.
Le froid l’enlace dans une parure,
Chaleur subtile, brillance sans fissure.
Entre les doigts d’un mage ou dans la nature,
Il magnifie l'artisan de ses courbes sûres.

 

L'aluminium, aérien, traverse l’éther,
En ailes argentées, il déploie son mystère.
Il revêt les cités, reflet de l’art vulgaire,
Compagnon des cieux, il fait tomber les frontières.
Indomptable et libre, tout semble lui plaire,
Sous la main créatrice, il devient lumière.
Des vaisseaux aux toits, il façonne la sphère,
Essence des rêves et des ponts sidéraux.

 

Le mercure s’échappe, argent liquide fuyant,
Coule entre les doigts, danse en filigrane troublant.
Il scande les heures, reflet toujours changeant,
Craint par les sages, ombre persistant.
Son éclat est vif, doux et inquiétant,
Fluide mystique, écho déroutant.
Qu’il révèle la fièvre ou l’océan battant,
Il demeure secret, messager du vent.

 

Le fer, colossal, bâtit les fondations,
Sous les marteaux lourds, flambe en combustion.
Armure des guerriers, d’éclat incandescent,
Colosse forgé dans le brasier vibrant.
Il soutient le ciel, nos rêves mouvants,
Fait tourner les roues du monde fluctuant.
Inébranlable, puissant, rugissant,
Il porte en son cœur l'avenir flamboyant.

 

Le plomb s’alourdit, dense dans son fardeau,
Sous son manteau gris, nul ne peut lever le flambeau.
En épais linceul, il pèse comme un tombeau,
Gardien des âmes, protecteur des cachots.
Lent poison d’ombre, progressant sans écho,
Il scelle les secrets dans le silence clos.
Pourtant, sous sa surface froide et sans halo,
Sommeille une grandeur, allié sans ego.

 

Le zinc éclatant, dans l’ombre s'affirme,
Il protège des ans, des pluies qui s’esquivent.
En armure légère, il couvre et sublime,
Scellant les toits d’or d’une force inflexible.
Discret compagnon, il trace avec brio
La marche du temps, des heures l’écho.
Sous le ciel changeant, il reste altier,
Veillant sur le monde, gardien des sentiers.

 

Le titane invincible, guerrier de lumière,
Effleure l’infini, noble aventurier.
Dans les cieux il plane, farouche et fier,
Aérien comme l’air, plus dur que l'acier.
Des cimes glacées aux abîmes stellaires,
Il conserve ses secrets, métal singulier.
Nulle flamme ne brise son éclat altier,
Il forge des rêves d’étoffe inaltérée.

 

Le tungstène, dense, forgeron des éclairs,
Dans ses fibres compactes, brûle le tonnerre.
Fils de la foudre, métal sans repères,
Plus dur que le roc, il résiste à l’enfer.
Des brasiers aux flammes, il contient le mystère,
Portant la lumière comme flambeau austère.
Dans le cœur des machines, il règne sincère,
Fil d’or invisible dans la nuit sévère.

 

Le molybdène danse entre les alliages,
Fort et résistant, il plie sans présage.
Il renforce l’acier dans ses vastes ouvrages,
De la modernité, il sculpte les passages.
En fusion parfaite, il joint les rouages,
Maître des feux, des forges et des âges.
Invisible allié des futurs paysages,
Il guide sans bruit l’essor des mirages.

 

Le cobalt azur, secret des profondeurs,
Éveille la terre de ses mystiques lueurs.
Teinture sacrée, écho enchanteur,
Ses pigments chantants vibrent de ferveur.
Dans l’acier, il cache une ardente chaleur,
Renforçant le métal, allié supérieur.
Mystère des pierres, gardien intérieur,
Il trace le futur de son éclat majeur.

 

Le magnésium, flamme éclatante et pure,
S’embrase en lumière, transcendant toute mur.
Sa vive clarté perce la nuit obscure,
Dans le creuset des astres, il consume sans murmure.
Dans l’océan des métaux, il danse sans fêlure,
Allié des créations, légère armure.
Il soutient le monde, son éclat perdure,
Source de feu et d’élan sans fracture.

 

Le nickel, miroir aux reflets argentés,
Allié des aciers, il brille en clarté.
Solide, fidèle, dans l’obscurité,
Il garde l’éclat d’une éternité.
Sous ses doigts s’écrivent les possibilités,
Chimie des métaux, force incarnée.
Dans les cœurs des moteurs, il scelle l’unité,
D’un éclat lumineux, il trace sa vérité.

 

L’étain, malléable, doux comme le silence,
Protège les métaux de toute déchéance.
Sous la caresse de l’artisan, il brille, en apparence,
Façonnant des formes empreintes de brillance.
Durant des siècles, il a su s’inviter,
Sur les tables des puissants, dans les œuvres gravées.
Fragile mais fidèle, il sait illuminer,
Le rêve d’éternité, subtilement sculpté.

 

Le cadmium rare, dans l’ombre il s’abrite,
Révélant son éclat, brillant météorite.
Ses pigments vibrants, en rouge il s’agite,
S’infiltrent dans les toiles que l’artiste invite.
Maître des pinceaux, secret chimique en fuite,
Dans les batteries, précieux, il se tisse.
Parfois poison insidieux, son aura s’endurcit,
Mais son éclat pur nul ne réfute ou dissipe.

 

Le zirconium, éclat mystérieux,
Résistant au feu, à l’épreuve des cieux.
Invisible gardien des réacteurs ambitieux,
Son éclat discret émerge des cœurs silencieux.
En bijoux précieux, il défie le joyau,
Rival du diamant, il brille sans égaux.
Il protège les flammes, noble et fidèle,
Métal d’un futur où les rêves sont réels.

 

L’antimoine gris, vestige d’une ère ancienne,
Entre ombre et lumière, il se faufile serein.
Son essence s'écoule en poison raffiné,
Dans la main de l’érudit, il devient symphonie sacrée.
Scellant des glyphes oubliés dans des pierres de folie,
Il trace des signes, traceur d’alchimie.
Son passé mystérieux vibre d’énergie,
Métal perdu, gardien de l’infini.

 

Le manganèse, fort, complice de l’acier,
Renforce les lames, forge des guerriers.
Il émerge des entrailles de la terre enflammée,
Porteur d’un éclat sombre, indompté.
Allié des forges, il sculpte des cités,
Colonne de fer des temps dépassés.
Dans les ponts et les tours, son esprit est figé,
Rendant hommage à ses prouesses oubliées.

 

Le béryllium, lumineux et fragile,
Cristal diaphane aux reflets subtils.
Métal léger, constant, invisible fil,
Dans les mains des savants, il devient outil agile.
Des lasers aux étoiles, il déploie ses ailes,
Guettant chaque souffle, chaque étincelle.
Essence de technologie, dans ses grains veille,
Gardien des savoirs, il trace des merveilles.

 

Le chrome poli, reflet sans imperfection,
Miroir des métaux, lumière sans concession.
Dur comme l’acier, il brille sans corrosion,
Surface lisse, éclat de pure dévotion.
Dans les temples d’acier, son règne est éclat,
Il fait vibrer les armes, il scelle le combat.
Force et élégance, son reflet millénaire,
Garde l’ombre sous sa surface de fer.

 

Le germanium, cristal aux fils conducteurs,
Dans l’océan des ondes, il guide la lueur.
Invisible, discret, il tisse les heures,
Reliant les mondes, gardien du flux intérieur.
Rare et précieux, dans l’ombre il s’efface,
Clef des circuits, il trace la surface.
Parmi les fibres de lumière, il garde sa place,
Conducteur du futur, dans la danse des traces.

 

Le vanadium, léger mais indomptable,
Renforce l’acier d’une force redoutable.
Sous son influence, tout devient éclat,
Allié précieux des structures en combat.
Son souffle promet un futur invincible,
Où force et grâce se marient dans l’invisible.
Dans l’industrie lourde, il demeure fidèle,
Métal du progrès, où tout se révèle.

 

Le gallium, fluide dans les mains de la lumière,
Fond à basse chaleur, mystère éphémère.
Liquide brillant, il franchit les frontières,
Sculptant des mondes dans des rêves solitaires.
Dans les diodes lumineuses, il éclaire l’avenir,
Les écrans et les cieux le voient s’épanouir.
Modeste et caché, métal visionnaire,
Il s’impose en silence, éclat légendaire.

 

L’hafnium discret, scelle l’énergie,
Au cœur des réacteurs, il veille en harmonie.
Résistant au feu, pur dans sa densité,
Il garde les secrets de la science exaltée.
Gardien invisible, de l’essence des flammes,
Il veille dans l’ombre, métal en état d’âme.
Son éclat subtil est promesse d’essor,
Dans le creuset des savoirs, il forge sans remords.

 

L’indium brillant, doux comme un reflet,
Se glisse en secret, dans les alliages discrets.
Souple et malléable, il façonne les esprits,
Traçant des sentiers où l’espoir se nourrit.
Dans l’écran tactile, il s’efface, précieux,
Pont conducteur entre verre et métal audacieux.
Son éclat argenté murmure des rêves silencieux,
Maître des possibilités, éclat des jours heureux.

 

Le niobium, fier, sculpteur des hauteurs,
Porte les ponts, les structures, défiant les heures.
Il habite les cieux, allié des bâtisseurs,
Sous sa dure étreinte, il emprisonne la peur.
De la flamme il dompte l’ardeur sans cesse,
Son règne est caché dans les mers en liesse.
Son nom, peu connu, mais sa force est lumière,
Ressource de l’avenir, métal compagnon des terres.

 

Le rhénium, rare, persiste dans la brume,
Des moteurs ardents, il guide le bitume.
Sous les feux intenses, il garde son air calme,
Allié des cieux, il se maintient dans l’âme.
Rare et mystérieux, il trace l’espace,
Enflamme des moteurs de son éclat tenace.
Au cœur des flammes, il demeure sans menace,
Métal précieux, dans le vide il s’efface.

 

Le thallium obscur, poison délicat,
Cache sous son éclat le froid du trépas.
Dans les laboratoires, son spectre est discret,
Invisible chimie où nul ne le verrait.
Ombre silencieuse, métal à double tranchant,
Il tisse des fils secrets dans les éclairs mouvants.
Inconnu du monde, son règne se taira,
Métal de mystère, que nul ne verra.

 

 

Metallum Expansion II

 

 

Sous l'éclat lunaire, les métaux s'éveillent,
Leur danse éternelle forge des merveilles,
Chacun dans le feu grave ses ardeurs vives,
Matière et esprit se lient sans dérive.

 

Le mercure fuit, coulant comme un mirage,
Sa fuite lente nourrit le paysage,
En chimère d'argent, il glisse en nuage,
Son secret demeure, écho sans langage.

 

Le fer, colosse, soutient les cieux brûlants,
Sous les coups du feu, il forge les géants,
Dans ses fibres noires, vibrent les vents,
Rouage de l’ordre, il scelle les instants.

 

L’aluminium, léger, fend l’atmosphère,
Son vol, gracieux, traverse les frontières,
Maître des cités, des architectures fières,
Il grave le futur de ses mains de fer.

 

Le plomb, lourd fardeau, en sombre silence,
Se couche en ombre sur la terre immense,
Protecteur muet, il dresse sa défense,
Gardien des mystères, scellant l’indolence.

 

Le zinc, scintillant sous la pluie d’orage,
Protège les cieux du temps et ses ravages,
En fine armure, il trace des passages,
Allié de l’éther dans les âges sages.

 

Titane invincible, guerrier de lumière,
Sa force éclate dans les cieux de fer,
Plus léger que l’air, il brise les barrières,
Des cimes glacées, il porte les prières.

 

Tungstène ardent, forgeron des éclairs,
Dans ses fils brûlants sommeille le tonnerre,
Plus dur que le roc, maître des enfers,
Il dompte le feu, éclat dans la guerre.

 

Molybdène dense, soutien des bâtisseurs,
Sous les flammes, il joint les grandes hauteurs,
Dans l’acier vivant, il forge les lueurs,
Silencieux pilier des rêves vainqueurs.

 

Cobalt en profondeur, maître des couleurs,
Sous l’océan noir, il cache ses pleurs,
Pigments enchantés qui peignent les heures,
Il façonne l’acier, vibrante lueur.

 

Magnésium éclatant, feu sans limite,
Sa lumière vive chasse la nuit, précipite
Les étoiles d’argent, brillant dans la fuite,
Sculpteur du destin, flamme qui invite.

 

Nickel résistant, en miroir parfait,
Ses reflets d’argent lient l’éternité,
Dans les cœurs d’acier, il guide en secret
Les mécaniques vastes, force sans arrêt.

 

L’étain, doux métal, aux mains se confie,
Il protège en silence des pluies, des cris,
Son éclat fragile rêve d’infini,
Des siècles passés il garde le récit.

 

Cadmium en éclats, rouge incandescent,
Dans les toiles vives, il s'étale absent,
Maître des pigments, nuage en suspens,
Son poison discret coule en fil tranchant.

 

Zirconium, joyau des flammes cachées,
Sous sa dure étreinte, rien ne peut céder,
Allié des forges, des cieux exaltés,
Il sculpte des rêves en anneaux glacés.

 

Antimoine, métal des rites anciens,
Trace dans la roche des chemins lointains,
Sous la main du mage, en fil cristallin,
Il garde les secrets d’un feu sibyllin.

 

Manganèse austère, dans la forge aride,
Porte le poids du monde, figure rigide,
Il grave en silence, dans sa course intrépide,
Les fondations d’un rêve plus solide.

 

Béryllium éclatant, pur diamant des cieux,
Maître des cristaux, éclaire en silencieux
Les machines volantes, les feux précieux,
Gardien lumineux des vides spacieux.

 

Chrome resplendissant, poli sans défaut,
Il fait briller l’acier, enchaînant les mots,
Dans les armes noires, il scelle le vœu
D’un éclat pur et sans dévot.

 

Germanium, cristal qui trace le fil,
Invisible lien dans le monde subtil,
Il guide les ondes, conducteur agile,
Vers l’avenir numérique, docile.

 

Vanadium, allié fidèle et pur,
Dans l’acier des ponts, sa force est sûre,
Il marque les âges d’une empreinte dure,
Promesse d’un futur où tout s’épure.

 

Gallium fluide, aux doigts de lumière,
Il fond dans le feu, mystère sans barrière,
Son éclat discret, sous des cieux stellaires,
Illumine l’ombre des terres austères.

 

Hafnium secret, gardien de la flamme,
Dans les réacteurs, il protège les âmes,
Résistant aux feux, il calme les drames,
Métal dans l’ombre, porteur des trames.

 

Indium argenté, allié des savoirs,
Sculpte les miroirs, trace les couloirs,
Dans les écrans vifs, il chante l’espoir,
Sa lueur éclate au cœur des regards.

 

Niobium austère, pilier des hauteurs,
Sous les ponts d’acier, il porte les lueurs,
Dans la forge immense, il scelle les heures,
Métal invisible, chant des bâtisseurs.

 

Rhénium précieux, rare et incertain,
S’élevant des feux, guide aérien,
Dans les moteurs vifs, il garde le lien,
Entre cieux brûlants et chemin terrien.

 

Thallium, spectre, dans l’ombre il se cache,
Toxique maître, rare dans sa tâche,
Chimiste des ombres, il tisse sans relâche
Le destin des flammes qu’il scelle et arrache.

 

Tous les métaux brillent sous le ciel fervent,
Portant en leur cœur un écho vivant,
Dans la forge des astres, leur souffle ardent
Grave les secrets du monde éclatant.

 

 

Metallum Expansion I

 

 

Dans les creusets anciens, sous les cieux ardents,
Naissent les métaux, fils du feu éclatant,
Des mystères cachés au fond du néant,
Forgeant les secrets de l’âge brûlant.

 

Le mercure danse, insaisissable éclat,
Son fluide argent trace un chemin sans pas,
Chimie en mystère, énigme sans glas,
Il fuit entre les doigts, serpent sournois.

 

Le fer, quant à lui, sous le marteau flambe,
Il bâtit des mondes dans le feu qui rampe,
Ses rouages grondants, en armure, il campe,
Portant l’avenir de sa force ample.

 

L’aluminium, léger, vole en éclat clair,
Il traverse les cieux, alliant l'éther,
Ses ailes étincellent, brisant les fers,
Des cités brillantes, il trace l'univers.

 

Le plomb, pesant, se voile en profonde nuit,
Son manteau scelle les secrets que l’on fuit,
Dans les tombes il règne, noir et sans bruit,
Mais sous l’ombre dort un éclat enfoui.

 

Le zinc en armure protège du temps,
Sur les toits d’or, il veille en maître savant,
Sa force en silence, gardien éclatant,
S’inscrit dans les heures d’un cours constant.

 

Titane invincible, flambeau immortel,
Il vole sans poids, défiant tout ciel,
Plus fort que l’acier, sa lumière révèle
Des rêves d’acier dans l’air solennel.

 

Le tungstène dense, forgeur d’éclairs vifs,
Garde la lumière des feux intensifs,
De la foudre, il naît, au cœur des massifs,
Fil ténu qui brille, mystère captif.

 

Molybdène dur, résistant aux flots,
Il plie sous le feu, calme dans les maux,
Soutenant l’acier, il sculpte les héros,
Invisible force, clé de nos fardeaux.

 

Cobalt bleu profond, secret des lueurs,
Ses pigments dans l’ombre offrent leurs splendeurs,
Mystère de roche, battant les heures,
Il forge les cieux en échos majeurs.

 

Le magnésium flambe, éclat sans retour,
Sa lumière vive consume alentour,
Des forges aux étoiles, il scelle le jour,
Dans sa flamme ardente, il trace un détour.

 

Le nickel résiste, en miroir glacé,
Son éclat persiste dans l’obscurité,
Aux cœurs des machines, il vient renforcer
Les alliages durs, fidèles reflets.

 

L’étain argenté, souple sous la main,
Protège des siècles les œuvres sans fin,
Façonnant des rêves d’un éclat ancien,
Il sculpte en silence un chemin serein.

 

Cadmium, en rouge, marque d’un éclat,
Ses pigments vibrants aux toiles s’accroient,
Poison des savants, rare dans son pas,
Il danse en secret, maître du trépas.

 

Zirconium discret, gardien du secret,
Résistant au feu, fidèle et parfait,
Dans les réacteurs, il scelle l'arrêt
Des flammes voraces, sans un mot concret.

 

L’antimoine coule en lignes d’argent,
Son éclat caché en fil déroutant,
Symbole des siècles, trace d’alliant,
Il charme les glyphes des temps vibrants.

 

Manganèse, sombre allié des aciers,
Renforce la terre, forgeron entier,
Dans les ponts et tours, il devient guerrier,
Colosse des âges, fidèle sentier.

 

Béryllium pur, cristal éclatant,
Invisible guide aux mondes flottants,
Il sculpte des lasers dans le vent brûlant,
Ses grains minuscules dansent en l’instant.

 

Le chrome poli, reflet sans défaut,
Règne sur l’acier, forgeant sans repos,
Illusion brillante, bouclier des maux,
Dans les armes noires, il fige les mots.

 

Germanium clair, maître du courant,
Invisible fil dans le flux vibrant,
Il lie les mondes d’un geste savant,
Conduisant les ondes vers l’avenir grand.

 

Le vanadium, fort, allié secret,
Purifie l’acier, tout devient parfait,
Des structures denses il fixe le fait,
Promesse d’un monde sans bruit ni effet.

 

Le gallium, fluide, s’écoule en paix,
Fond sous la chaleur, sans cris ni excès,
Dans les diodes vives, il fait un trajet,
Éclairant les cieux, tracé sans arrêt.

 

Hafnium puissant, dans l’ombre il s’abrite,
Scellant des réacteurs d’une main discrète,
Il protège les feux, leur course il décrète,
Maître du silence, où tout se complète.

 

Indium, miroir tendre et argenté,
Dans les alliages, il est vérité,
Pont invisible, sa fluidité
Relie les savoirs, pure loyauté.

 

Niobium, fier, colonne du ciel,
Soutient les structures aux arches immortelles,
Des hauteurs il veille, créant des merveilles,
Allié des forges, sculpteur éternel.

 

Rhénium, brûlant, éclat des moteurs,
Résiste au chaos des feux destructeurs,
Dans les cieux il flamboie, guide des ardeurs,
Métal rare et pur, créateur des heures.

 

Thallium, ombre au poison délicat,
Tisse en silence ses fils du trépas,
Dans les laboratoires, on le pressent pas,
Chimiste invisible, danseur sans éclat.

 

Sous la forge des astres, les métaux naissants
Portent en leur sein les secrets flamboyants,
L’écho des étoiles chante en leur chant,
Ils sculptent l’avenir d’un éclat vivant.

 

 

Metallum Expansion V

 

 

Les Métaux Transdimensionnels

 

Les métaux ne sont pas des corps finis,
Ils vibrent dans des champs hors du monde uni.
Gardant l’univers en secret, unis,
Ils touchent l’éternel dans leurs doux replis.

 

Le Métal des Âges: L'Hyperfer
L’Hyperfer ancien, solide fondement,
Plie les dimensions dans son doux tourment.
Chaque atome forge, dans le firmament,
Des ponts oubliés, gardiens du moment.

 

Il porte en son sein la clé du retour,
De l’âge de l’aube à celui du jour.
Lorsque le temps fléchit sous son lourd contour,
Il scelle le cycle de l’éternel tour.

 

Chronium: Maître du Temps
Le Chronium pur, au-delà du temps,
Brille dans l’instant, d’un éclat mouvant.
En chaque seconde, il est le présent,
Gardien des horloges des flux incessants.

 

Il trace le fil des jours et des heures,
Cristal invisible qui jamais ne meurt.
Sa course est le rythme des sphères rêveurs,
Sa force unit passé et futurs en chœurs.

 

Le Calexium, Gardien des Espaces
Dans les plis secrets, Calexium règne,
Force inconnue des brumes et des règnes.
Il plie l’espace en courbes sans freins,
Modulant les mondes, maître des chemins.

 

Voyageur des dimensions repliées,
Il garde les portes des âmes pliées,
Offrant à l’esprit des routes oubliées,
Où la matière s’efface en éclats liés.

 

Les Métaux du Néant

 

Le vide se forge en secret élément,
Les métaux du rien, purs mais sans moments.
Dans le non-espace, leur éclat aimant,
Guide les âmes, dans l’infiniment.

 

Néosélénium: l’Éclat du Vide
Néosélénium dans l’ombre tu nais,
Sous des cieux de rien, là où rien ne fait.
Mais ton éclat pur guide les objets,
Vers un non-lieu où le vide est parfait.

 

Dans l’éther glacé, tu restes absent,
Invisible flamme, sans toucher brûlant,
Écho d’un non-temps, murmure errant,
Au creux du néant, métal hésitant.

 

Ténébrium: La Substance du Non-Être
Ténébrium flotte dans l’obscurité,
Métal des abîmes, pure densité.
Il porte en son cœur la capacité,
D’effacer la forme dans l’éternité.

 

Sa masse invisible écrase les cieux,
Créant des failles, puits silencieux.
Dans sa lourde étreinte, il sculpte des lieux,
Où l’être et le néant s’effacent en jeux.

 

Les Métaux de l’Esprit

 

L’esprit façonne des métaux légers,
Plus fins que les vents, plus doux que les neiges.
Ils brillent en pensée, sans corps, ni mirage,
Touchant l’éther dans leurs mystérieux âges.

 

Noéthium: L’Esprit Cristallisé
Noéthium rare, cristal de pensée,
Fragile matière aux rêves sculptés.
Il flotte léger dans l’esprit formé,
Donne aux idées leurs contours sacrés.

 

Par ses éclats clairs, il trace le chemin,
Des pensées perdues dans les vastes mains,
Des mages anciens, scellant le destin,
Par l’intellect pur qui défie l’humain.

 

Psychonium: L'Éther Mental
Psychonium danse dans l’éther mental,
Métal de l’esprit, clair et ancestral.
Il lie les idées dans un jeu fractal,
Tissant des chemins au-delà du mal.

 

À chaque pensée, il s’unit en traits,
Offrant aux esprits des ponts de respect,
Où la vérité, en son éclat clair,
Scelle des royaumes au-delà des mers.

 

Les métaux sont plus que la matière dense,
Ils flottent dans des champs, loin de l'existence.
Au-delà des mondes, dans le rien immense,
Ils gardent des secrets, des éclats d’essence.

 

Dans chaque éclat pur, le temps se replie,
Et l’espace cède sous la main de vie.
En chaque métal, sommeille l’infini,
Éternel retour des âmes et des nuits.

 

 

Metallum Expansion IV

 

 

Dans l’éther profond, brillent les métaux,
Leurs lueurs s’élancent, écho des idéaux,
Ponts entre les mondes, célestes flambeaux,
Ils tissent l’infini de leurs purs anneaux.

 

Argon fluide danse, gaz noble et mystère,
Invisible dans l’air, chant des sphères,
Il guide les flammes en rêves éphémères,
Au creux des astres, souffle de lumière.

 

L’iridium éclat, météore d’acier,
Trace des chemins d’un avenir scellé,
Dans les cieux profonds, il est sans pitié,
Sa force marque l’univers altéré.

 

L’osmium dense, poids de l’éternité,
Règne en silence, gravité innée,
Son cœur bat au rythme de l’obscurité,
Gardien des soleils dans l’immensité.

 

Palladium pur, argenté reflet,
Réfléchit l’éclat des cieux sans regrets,
Allié des fusions où la nuit se plaît,
Son âme brille dans le silence parfait.

 

Radium éclaire d’une lueur étrange,
Sa lumière, funeste, le cosmos dérange,
Étoile déchue aux pouvoirs qui changent,
Il dévore l’ombre que son feu arrange.

 

Ruthénium clair, des astres allié,
Dans les machines, il fait tout briller,
En chaque rouage, son nom est gravé,
Vibration pure d’un métal sacré.

 

Francium fragile, en fuite éternelle,
Métal qui naît, meurt sous une étincelle,
Dans son bref éclat, il touche les ciels,
Gardien du chaos, feu originel.

 

Protactinium, ombre des antiques cieux,
De son éclat froid, il peint les lieux,
Garde des réacteurs dans les temps précieux,
Son âme pèse des secrets radieux.

 

Les Métaux des Étoiles

 

Plutonium sombre, cœur irradiant,
Fardeau de l'éther, pouvoir fulgurant,
Dans les trous béants, noirceur ébranlant,
Il plie les cieux, d’un éclat oppressant.

 

Dans l’uranium brûle un feu secret,
Flamme d’outre-temps, mystère sacré,
Source des fusions où l’avenir naît,
Il forge des soleils aux rayons parfaits.

 

Néptunium surgit, l’éther sous sa main,
Esprit de la mer, astre marinain,
Dans le champ des étoiles, il trace son lien,
Métal des abysses et du destin ancien.

 

Le thorium danse au bord de l’horizon,
Flamme immortelle de la combustion,
Il veille la terre, éthérée fusion,
Pont des âges d'or et de la création.

 

Curium profond, éclat de galaxie,
Chante l’énergie dans sa symphonie,
Il porte en lui l’aura de l’infini,
Feu créateur d’une étoile jaillie.

 

Américium, métal d’un autre jour,
Par le feu, il guide les âmes au détour,
Invisible gardien d’étranges amours,
Il scelle l’espace dans ses lourds atours.

 

Le californium s’élance en éclats,
De son cœur naît l’onde qui détruit ou bât,
Dans l’obscurité, son murmure éclat,
Il plie la matière à ses dures lois.

 

L’austère fermium dans l'ombre sommeille,
Éclat transitoire, lumière pareille,
Aux pulsars lointains dont il est l’abeille,
Son poids alourdit les nuits sans réveil.

 

Le nobélium, dans l’éther secret,
Tisse la lumière d’un fragile trait,
Métal des futurs où l’âme renaît,
De son éclat froid, l’univers se fait.

 

Lawrencium rare, spectre oublié du ciel,
Trace des sillons dans l'espace irréel,
Son cœur atomique, onde intemporelle,
Dessine des mondes à l’éclat pluriel.

 

Les Métaux d'Antimatière

 

Dans le rêverium, éclat du néant,
Se cachent des mondes dans l’incessant vent,
Ombre des métaux, antimatière et chant,
Il crée des échos d’un passé mouvant.

 

Moscovium lourd, ombre de la matière,
Tel un dieu éteint, règne dans la lumière,
Entre les galaxies, il devient prière,
Réverbère étrange, gardien des poussières.

 

Livermorium éthéré dans le vide,
Son éclat fragile s’éteint dans limpide,
Mais en sa lente mort, la vie se décide,
Naissance de mondes aux ondes liquides.

 

Le ténébreux oganesson murmure,
Sous des sphères noires, il ourle l’azur,
Invisible et dense, il déchire l’obscur,
Gardien du chaos, énigme mature.

 

En chaque métal dort un monde entier,
Étoile, planète, ou sombre sentier.
Leurs éclats vibrants, dans l’ombre scellés,
Tissent l’infini, secrets oubliés.

 

Les mains des mortels, en quête de clefs,
Étreignent la matière en chant et reflets.
Mais dans leur fusion, se cachent des attraits,
Que seuls les cieux savent dans leur secret.

 

 

Metallum Expansion III

 

 

Sous l’écrin céleste, les métaux vibrants,
En silence tissent des rêves brûlants,
Leurs essences se mêlent dans l’air mouvant,
Forces invisibles, les astres les chantant.

 

L’argent, discret maître, aux éclats d’azur,
S’invite aux rivages des cieux en murmure,
Dans ses courbes douces se niche la pure,
Lueur argentée qui jamais ne dure.

 

Aluminium, léger, dans l’air souverain,
Vole sans entrave, étend son chemin,
Grave des cités aux contours divins,
Alliage du ciel, de l’homme et du destin.

 

Mercure, insaisissable, brille et s’enfuit,
L’argent fluide glisse en secret sans bruit,
Il marque les heures de sa course enfuie,
Miroir des âmes et des cœurs sans appui.

 

Le fer rugit sous le marteau des forges,
Dans ses veines vives, le feu se déploie,
Bâtisseur des mondes, où l’acier se forge,
Il garde l’écho des combats et des lois.

 

Plomb, sombre gardien, pesant sous son fardeau,
Recouvre en silence tombeaux et vaisseaux,
Poids immense qui scelle rêves et maux,
Son épais manteau traverse les eaux.

 

Zinc éclatant, protecteur des toits fiers,
Il défie le temps, résiste aux éclairs,
Sous son armure glisse la lumière,
Gardien des murs d'or sous les cieux sévères.

 

Titane inflexible, élan vers l’ailleurs,
Maître des hauteurs, dédaignant la peur,
Il s’élève fort, défiant la douleur,
Dans l’éther profond, il sculpte des heures.

 

Tungstène ardent, porteur de la foudre,
Il embrase la nuit, forge l’âme dure,
Dans ses fibres denses, les feux se soudent,
L’éclair prisonnier en son fil murmure.

 

Molybdène ferme, des forges l’allié,
Il renforce l’acier, flamme maîtrisée,
Supporte le monde, de rêve et de pied,
Pilier invisible, sans cesse oublié.

 

Cobalt, bleu mystère, au cœur des pigments,
Vibre sous la terre, éclat des ferments,
Ses teintes profondes parent les éléments,
Allié des forges, du feu rayonnant.

 

Magnésium brûlant, élan fulgurant,
Dans l’air incandescent, il forge le temps,
Léger et rapide, éclat dévorant,
Il éclaire la nuit de son feu dansant.

 

Nickel au miroir poli, résistant,
Allié de l’acier, fidèle servant,
Dans le moteur des mondes, élan constant,
Il brille en silence, alliage éclatant.

 

L’étain, argenté, dans la main s’adoucit,
Matière malléable, il plie sans souci,
Des siècles durant, il a su bénir ici
Les tables des anciens de son doux merci.

 

Cadmium en feu, teinte incandescente,
Pigment éclatant, matière apparente,
Dans les toiles brûlantes, sa lueur ardente
Sème des couleurs d’une vie naissante.

 

Zirconium secret, protecteur du feu,
Resplendit discret sous l’azur des cieux,
Bijou des réacteurs, luisant dans les vœux,
De la flamme il garde les contours soyeux.

 

Antimoine ancien, trace des anciens rites,
Dans ses fils étranges, l’hérésie s’invite,
Métal de la nuit, la magie s’y abrite,
Il scelle les secrets, énigme interdite.

 

Manganèse guerrier, dans l’acier se glisse,
Des armes et des lames, il guide le vice,
Il grave en silence un rêve sans caprice,
Colosse d’acier, architecte des indices.

 

Béryllium clair, cristal transparent,
Dans les mondes stellaires, il flotte, grand,
Des lasers aux cieux, guide des courants,
Sa finesse éclaire les cœurs vibrants.

 

Chrome étincelant, miroir des métaux,
Dans l’ombre il veille, brillant sans défaut,
Sur les armes forgées, sa clarté fait écho,
Sa surface polie garde les fardeaux.

 

Germanium fin, maître des courants,
Invisible fil, il relie les temps,
Du numérique aux ondes éclatantes,
Il trace les voies des esprits flottants.

 

Vanadium pur, alliage parfait,
Sous ses doigts l’acier devient tout à fait,
Métal des futurs où tout est gravé,
Promesse éternelle dans le feu scellée.

 

Gallium liquide, au contact du fer,
Fond dans les paumes comme une lumière,
Dans le creux des écrans, rêve visionnaire,
Il éclaire les cieux d’un éclat lunaire.

 

Hafnium discret, gardien du silence,
Protège les réacteurs d’une science,
Sous le feu violent, il garde patience,
Métal invincible, sage persistance.

 

Indium souple, allié des miroirs,
Dans les écrans vifs, il trace l’espoir,
Conduit la lumière d’un fin couloir,
Sa clarté fragile illumine le noir.

 

Niobium robuste, dans l’acier caché,
Soutient les grands ponts, indéfectible clé,
Dans les forges d’air, son feu est resté,
Pilier des bâtisseurs, il garde les fées.

 

Rhénium précieux, du moteur le cœur,
Sous les flammes vives, il brûle sans peur,
Dans les cieux ardents, il défie l’heure,
Sa rareté brille, fil d’un éclat majeur.

 

Thallium sournois, venin sans visage,
Tisse dans l’ombre des fils de nuages,
Dans le creux des ombres, métal sans âge,
Il reste secret, poison sans partage.

 

Ainsi, tous les métaux, par le feu gravés,
Portent en leur sein les rêves éveillés,
Leurs éclats tissent des mondes forgés,
Sculptant l’univers dans la flamme dorée.

 

 

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