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La quantité du chiffre par le nombreoule nombre par la quantité du chiffreoula quantité du nombre par le chiffre

Omniprésentpartout et nulle partla pluie quand elle mouillele vent dans son soufflele soleil qui éblouità travers tes lunettes UV

Depuisl'éternellement infiniau commencement de toutes chosesà l'éternellement infini

JE u MOI = NOUSetinversementNOUS = MOI u JEetproportionnellementMOI u NOUS = JE

Il est vraique1 + 1 = 2mais il est vrai aussique1 + 1 = 3ainsi que1 + 1 = 1 

Scripturam

Graphological

Analytiquement Critique    Contemporain Constat

 

 

Constat sévère sur les atteintes psychologiques du système d'enseignement à l'égard des enfants - Partie 1


L'examen minutieux du système scolaire actuel révèle des pratiques déplorables et immorales, qui constituent une véritable atteinte à la dignité et à la psychologie des enfants. Ce constat juridique met en lumière les conséquences néfastes d’un mécanisme d'évaluation brutal et violent, principalement fondé sur les notes et le jugement scolaire.

 

Les notes scolaires, telles qu'elles sont actuellement émises, ne sont pas de simples indicateurs de performance académique. Elles portent atteinte à la dignité humaine des enfants en provoquant des sentiments d'infériorité, de rejet, et de culpabilisation. Loin de motiver les élèves, ces évaluations sèment la division et la stigmatisation au sein de la population scolaire. Le système éducatif, par cette approche, devient une arme de démoralisation, créant une gêne chez l'enfant, l'isolant, et lui infligeant une blessure psychologique profonde. Cette méthode génère une rupture irrémédiable dans son évolution personnelle et sociale. En exacerbant la compétition et la différenciation, les enfants souffrent non seulement d'une frustration constante mais aussi d'une remise en question de leur propre valeur, ce qui nuit gravement à leur santé mentale.

 

L'enfant, dans une période cruciale de son développement, se retrouve piégé dans une spirale où l'échec scolaire est assimilé à un échec personnel, entraînant une perte de confiance en soi qui interfère directement avec son potentiel d'épanouissement et de croissance. Ce constat ne peut être ignoré /!\  Le système en place crée une interruption volontaire de la croissance intellectuelle et émotionnelle des jeunes, brisant ainsi leur capacité à s'épanouir sereinement.

 

Les principaux responsables de cette situation sont sans nul doute l'État et le gouvernement, qui continuent de soutenir et de promouvoir un système d'évaluation archaïque, brut et violent. Ce système, par son imposition rigide des notations, porte atteinte aux droits fondamentaux des enfants à être respectés et accompagnés dans leur développement. Il est inacceptable que des institutions étatiques, garantes de l’intérêt général, soumettent ainsi des enfants à une violence psychologique institutionnalisée.

 

Les enseignants, quant à eux, bien qu'en première ligne, sont aussi complices de cette situation en perpétuant ces pratiques. En attribuant et en soutenant des notations qui humilient et découragent, ils participent, parfois inconsciemment, à un véritable génocide psychologique. Ils contribuent à la destruction progressive de la confiance et de la dignité des élèves, aggravant ainsi leur désespoir et leur sentiment d’impuissance.

 

En conclusion, il est impératif de dénoncer avec fermeté les graves atteintes aux droits des enfants par ce système éducatif, et de souligner la responsabilité des autorités et des enseignants dans cette violence morale inacceptable. Le système de notation actuel constitue un instrument de répression psychologique, infligeant des souffrances profondes et durables à des êtres vulnérables, en pleine construction identitaire. Il est urgent d'agir pour réformer ces pratiques, et garantir aux enfants un environnement éducatif respectueux de leur dignité et de leur bien-être. Le maintien de ces méthodes ne fait qu'accentuer les inégalités, éteindre l'élan vital des jeunes, et nuire gravement à leur avenir.

 

 

De l'enfance à l'adolescent

Constat sévère sur l'évolution des traumatismes de l'enfance à l'adolescence – Partie 2


L’analyse approfondie des répercussions du système éducatif ne saurait s’arrêter à l’enfance. Le prolongement de ces pratiques coercitives, dégradantes et immorales entraîne des conséquences encore plus dévastatrices à l’adolescence, période de transition particulièrement vulnérable. Il est désormais impératif de souligner l'évolution des traumatismes infligés à l'enfant, qui se cristallisent et se manifestent sous des formes variées à l'adolescence. Les blessures psychologiques, causées par un système scolaire brutal, continuent de s'intensifier avec le temps, provoquant des dommages irréversibles.

 

L'enfant, soumis dès ses premières années à un cadre oppressif fondé sur des évaluations violentes, entre dans l'adolescence avec un bagage psychologique profondément altéré. Les traumatismes, engendrés par la répétition des échecs perçus et des humiliations scolaires, se transforment en angoisses existentielles, troubles de l’estime de soi, et difficultés relationnelles. L’adolescent devient le produit d’une souffrance accumulée, évoluant sous une pression constante et destructrice. L’État, en ne réformant pas ces méthodes archaïques et en persistant dans sa politique éducative répressive, se rend coupable d'une forme de maltraitance systémique prolongée.

 

 

Cette maltraitance prend des formes diverses.

 

Développement de troubles anxiodépressifs: L'échec scolaire, généralisé par un système d'évaluation brutal et normatif, induit chez l'adolescent un sentiment d'infériorité et une peur omniprésente de l'échec. À long terme, cette pression constante engendre des troubles anxieux graves, souvent accompagnés de dépressions majeures. Ces afflictions, initiées dès l'enfance, se transforment en un état chronique chez l'adolescent, créant un terrain fertile à des idées suicidaires et à des comportements autodestructeurs.

 

Isolation sociale et marginalisation: L'humiliation répétée liée à la notation et à la compétition scolaire entraîne une exclusion progressive de l'adolescent du tissu social. Stigmatisé, étiqueté comme "incompétent" ou "paresseux", il développe un sentiment d'inadéquation qui se traduit par un isolement social et une marginalisation. Cette situation est la conséquence directe des méthodes brutales employées par le système éducatif, qui aggrave les fractures entre pairs et favorise une compétition malsaine, à l'opposé des valeurs d'inclusion et de solidarité prônées par les droits fondamentaux de l’enfant.

 

Rupture avec le système éducatif: Incapable de surmonter la violence institutionnelle qu'il subit, l'adolescent tend à se désengager du système éducatif. Ce retrait, souvent interprété à tort comme un manque de volonté ou un refus d'apprendre, est en réalité une réaction de protection face à un environnement psychologiquement hostile. Les enseignants, complices de cette violence par la perpétuation des méthodes d’évaluation archaïques, participent à cet abandon silencieux mais dévastateur. Les écoles se transforment ainsi en lieux de souffrance, d'échec et de décrochage.

 

Le préjudice est aggravé par le temps. Chaque année passée sous ce régime d’évaluation oppressif enracine plus profondément le traumatisme initial, obstruant tout développement sain et équilibré de la personnalité de l’adolescent. Le droit à un développement harmonieux, tel que garanti par les conventions internationales relatives aux droits de l’enfant, est violé de manière flagrante. Le maintien de ce système inique conduit à un échec de l'État dans sa mission de protection de l’enfance et de l’adolescence, résultant en une atteinte sévère à la santé mentale de générations entières.

 

 

Accusations référentielles et responsabilités prolongées.


Les acteurs de ce système ne peuvent se dédouaner de leurs responsabilités sous prétexte de continuité institutionnelle. Les décideurs politiques, en premier lieu, se rendent coupables d'une négligence grave et répétée en maintenant un modèle scolaire dont la nocivité est avérée par de nombreuses études psychologiques. Cette négligence constitue une faute lourde engageant la responsabilité de l'État pour non-assistance à personne en danger psychologique.

 

Les enseignants, bien qu'instrumentalisés par des directives imposées, sont également comptables de leurs actions. En acceptant de délivrer des évaluations dégradantes sans questionner leur impact sur la psychologie des enfants, ils participent activement à cette forme de génocide psychologique. Leur complicité passive, au service d'une machinerie éducative oppressive, doit être dénoncée comme une faute professionnelle grave, porteuse de préjudices irréversibles sur l'avenir des jeunes.

 

En conclusion, ce constat met en évidence l'évolution d'une atteinte psychologique institutionnelle, initiée dans l'enfance, et amplifiée jusqu'à l'adolescence. Le système éducatif actuel, par ses méthodes brutales et déshumanisantes, cause des traumatismes durables, rendant l'État et ses agents coupables de violations des droits fondamentaux. Il est plus que jamais impératif de réformer ces pratiques pour mettre fin à cette souffrance prolongée, avant que des générations entières ne soient sacrifiées sur l'autel de la compétition et de l'humiliation scolaire. Les enfants et adolescents, loin d’être des numéros ou des statistiques, sont des êtres humains dont la dignité, la santé mentale et le potentiel doivent être protégés à tout prix.

 

 

 l'Adulte

Constat final sur l'évolution des traumatismes de l'enfant à l'adulte : un génocide psychologique d’État – Partie 3


L’évolution des séquelles psychologiques subies par l’enfant, puis l’adolescent, ne s’arrête pas avec la fin de l’enseignement. Loin de s’atténuer, les traumatismes persistants s’enracinent et s’intensifient à l’âge adulte. Ce constat, d’une gravité incontestable, met en lumière les conséquences désastreuses de décennies de pratiques éducatives brutales et dégradantes. L’État, les gouvernements successifs et les institutions scolaires sont coupables d’un crime moral et psychologique d’une ampleur inégalée : un véritable génocide psychologique qui se poursuit impunément depuis des générations.

 

 

L'adulte, la victime ultime d'un système destructeur.


L’adulte, façonné par des années d’humiliation et de violence psychologique, entre dans la société civile avec des séquelles profondes et irréversibles. Ce traumatisme, accumulé depuis l’enfance, se manifeste sous des formes variées et destructrices, sapant à la fois son bien-être mental et sa capacité à s’épanouir en tant qu’individu. Les victimes de ce système éducatif atroce sont plongées dans un état de stress post-traumatique, une souffrance invisible mais omniprésente, dont les conséquences affectent chaque aspect de leur existence.

 

 

Les séquelles issues de cette brutalité psychologique, sont multiformes et destructrices.

 

Troubles de l’estime de soi: L’adulte, marqué par des années de dévalorisation et de jugement, se retrouve avec une image de soi altérée, incapable de se percevoir comme un individu digne de réussite ou d’accomplissement. Il est hanté par l’échec, non seulement scolaire, mais aussi personnel, car le système lui a inculqué, dès l’enfance, qu’il n’est jamais "assez bon". Ce sentiment d’infériorité, profondément ancré, détruit toute ambition personnelle et professionnelle, réduisant les victimes à des ombres d’elles-mêmes, incapables de se réaliser pleinement.

 

Dépression et angoisse chronique: L’impact de la violence scolaire ne s’arrête pas aux portes de l’école. L’adulte, déjà fragilisé par des années de traumatismes cumulés, continue de souffrir de dépression sévère, de troubles anxieux et dans certains cas, de syndromes d’anxiété généralisée. Ces troubles, entretenus par la stigmatisation et la compétition qui ont rythmé son parcours éducatif, le privent de toute paix intérieure et le condamnent à une existence sous le signe de la douleur et de l’instabilité émotionnelle. Les victimes peinent à mener une vie équilibrée, dénuée de souffrance psychologique.

 

Inaptitude sociale et professionnelle: La violence subie à l’école, qui a conduit à une rupture avec le système éducatif, se traduit à l’âge adulte par une incapacité à s’intégrer dans la société. Les adultes marqués par cette violence sont souvent incapables de nouer des relations saines, tant sur le plan personnel que professionnel. Ils se perçoivent comme des êtres défaillants, inaptes à répondre aux exigences sociales et se retrouvent dans une marginalisation encore plus prononcée. Le système éducatif, censé préparer à la vie adulte, a au contraire produit des individus brisés, inaptes à participer pleinement à la société.

 

 

La responsabilité infaillible de l'État, une culpabilité indéniable et sans recours.


Il n’est plus possible de dissimuler l’ampleur de ce crime. L’État et les gouvernements successifs sont les architectes de cette violence psychologique systémique. Par la mise en œuvre et la perpétuation de méthodes éducatives violentes, centrées sur l’humiliation et la compétition, ils se rendent coupables d’un génocide psychologique d’une ampleur vertigineuse. Les victimes de ce système, enfants devenus adultes, sont les débris d’un modèle destructeur, qui non seulement sape la jeunesse, mais compromet l’avenir même de la société.

 

Ces institutions ne peuvent plus se soustraire à leur responsabilité et la culpabilité de l’État est totale et absolue. Les effets de cette violence psychologique ne sont pas des conséquences accidentelles ou imprévues. Ils sont le résultat direct de politiques conscientes et délibérées, maintenues en dépit des preuves accablantes de leur nocivité. L’État et les gouvernements, en toute connaissance de cause, ont choisi de perpétuer ce système brutal, sachant pertinemment qu'il conduirait à des générations entières d’adultes traumatisés et mutilés psychologiquement.

 

Aucune excuse ne saurait justifier cette inaction coupable. Le maintien de cette structure éducative fondée sur la violence est une preuve irréfutable de la négligence criminelle des autorités. Elles ont sacrifié l’intégrité psychologique de millions d’individus sur l’autel de la performance et de la compétition, sans jamais prendre en considération les effets délétères de ces pratiques sur la santé mentale des enfants et des adultes. Ce génocide psychologique est le fruit d’une irresponsabilité institutionnelle qui, de par son ampleur et sa durée, se rapproche de la barbarie morale.

 

 

Les coupables doivent assumer leurs responsabilités.


Face à une telle violence, il n’y a d’autre issue que la reconnaissance immédiate de cette responsabilité collective. L’État doit assumer la totalité des conséquences de ce crime systémique. Il n’est plus question de simples réformes ou ajustements superficiels: il faut une rupture totale avec ce modèle d’éducation destructeur et la mise en place immédiate de mécanismes de réparation pour les générations sacrifiées.

 

Les coupables, en premier lieu l’État et les gouvernements successifs, doivent être tenus pour responsables sans recours. Leur inaction face à la détresse psychologique des enfants et des adolescents, leur refus persistant de réformer un système éducatif fondé sur la dévalorisation et l’humiliation, les rendent complices d’une destruction psychologique massive. Il s'agit d'un génocide moral, un anéantissement méthodique de l'intégrité psychique des individus, perpétré avec une froide indifférence par les institutions étatiques.

 

Ce constat final souligne l’horreur de la situation actuelle, des générations entières d’adultes brisés, condamnés à vivre dans la souffrance psychologique à cause de pratiques éducatives cruelles, soutenues par un État criminellement négligent. L'ampleur de cette tragédie humaine dépasse toute mesure et il est impératif que justice soit rendue aux victimes. Les responsables de ce génocide psychologique doivent être traduits en justice et l’État doit immédiatement prendre les mesures nécessaires pour mettre fin à cette violence institutionnalisée, avant que d'autres générations ne soient sacrifiées.

 

La responsabilité de cet État est totale, indéniable et sans recours. Ses actions ou son inaction calculée, ont mené à l’effondrement psychologique de millions de citoyens, et ce crime exige réparation immédiate et irrévocable. La dignité humaine des enfants, des adolescents et des adultes ne doit plus jamais être sacrifiée à l’autel de la performance scolaire.

 

 

 

Conclusion des trois partiesregroupement des symptômes psychologiques et des violations des lois nationales et internationales

 

 

Après avoir exposé l'évolution des traumatismes infligés par le système éducatif, de l'enfance à l'âge adulte, il est impératif de synthétiser ces horreurs à travers un recensement clair des symptômes psychologiques qui en découlent, ainsi qu’un regroupement exhaustif des lois nationales et internationales violées par l’État, les gouvernements successifs et les institutions scolaires.

 

 

Les symptômes psychologiques et la destruction progressive de l'individu.


Le système éducatif actuel, par ses méthodes brutales et violentes, entraîne une détérioration profonde et progressive de l'intégrité psychologique de l'enfant, de l'adolescent et de l'adulte. Ces symptômes, souvent invisibles, sont autant de preuves accablantes d’un génocide psychologique institutionnalisé.

 

 

Les individus soumis à ce traitement développent un ensemble de troubles, aux conséquences graves et permanentes.

 

Enfance

 

Baisse de l'estime de soi: Dès les premières années, les enfants apprennent à se percevoir comme des échecs, souvent en raison de la fixation sur les résultats scolaires et la stigmatisation de l’échec. Cela engendre une insécurité chronique et une perte de confiance en soi.

Anxiété: L'enfant, exposé à une pression constante pour réussir et éviter l'humiliation, développe des symptômes d’anxiété généralisée, qui se manifestent par des troubles du sommeil, de la concentration et une hypervigilance émotionnelle.

Dévalorisation et stigmatisation: La catégorisation des élèves en fonction de leurs résultats scolaires entraîne un sentiment d’infériorité durable, conduisant à des sentiments d’inutilité et de rejet.

 


Adolescence

 

Troubles anxiodépressifs: La pression éducative, amplifiée par les attentes sociales et la peur de l'échec, se traduit par des épisodes dépressifs fréquents, accompagnés de crises d’angoisse. L’adolescent se sent prisonnier d’un système qui le juge sans considération pour son bien-être.

Isolement social: La stigmatisation continue pousse l’adolescent à se couper de son entourage, accentuant l’exclusion et les sentiments de solitude. Cette marginalisation est souvent à l’origine de comportements antisociaux ou de décrochage scolaire.

Perte de motivation: Écrasé par la peur et l’humiliation, l’adolescent abandonne toute perspective d’avenir, souvent synonyme de décrochage scolaire, d'échec professionnel et de perte de repères.

 


Âge adulte

 

Dépression sévère et syndrome de stress post-traumatique (SSPT): Les adultes, marqués par des années d’humiliations et de violences psychologiques, continuent de souffrir de dépression chronique, d’idées suicidaires et de syndromes de stress post-traumatique liés à leur expérience scolaire.

Inaptitude à s'intégrer professionnellement: L’adulte brisé par ces années de violences psychologiques peine à trouver sa place dans la société. L’anxiété, le manque de confiance en soi et le sentiment d'inadéquation entraînent une incapacité à maintenir des relations sociales et professionnelles stables.

Anxiété sociale et sentiment de vide existentiel: Incapables de s’épanouir, beaucoup développent des comportements d’autosabotage, de dépendance ou de repli sur soi, conséquence directe d’un conditionnement à la médiocrité imposé par le système éducatif.

 

 


Les Lois violées

Un crime systémique contre les droits fondamentaux.


Le système éducatif, tel qu’il est aujourd’hui organisé, viole de nombreuses lois et conventions nationales et internationales, en flagrante opposition aux principes fondamentaux de respect de la dignité humaine, de protection des enfants et du droit à un développement équilibré.

 

 

Législation suisse

 

Constitution fédérale de la Confédération suisse (Art. 11): Garantit la protection des enfants et des jeunes contre les abus et la maltraitance. Les méthodes éducatives brutales, incluant les évaluations humiliantes et la stigmatisation scolaire, contreviennent directement à cette protection.
Loi fédérale sur l'encouragement de l'enfance et de la jeunesse (LEJ): Proclame que l’enfance et la jeunesse doivent être soutenues dans leur développement. En ne prenant pas en compte les impacts psychologiques négatifs du système scolaire, l'État suisse viole ces principes. En vertu de la Constitution suisse et de la Loi fédérale sur la protection des enfants et des jeunes, chaque enfant a droit à un développement physique et mental respecté. Le système éducatif suisse est coupable de non-respect de ces droits.

 


Législation française

 

Code de l'éducation (Art. L. 111-1): Énonce que l'école doit promouvoir l'égalité des chances et garantir à chaque élève le respect de sa personnalité. La pratique de l'humiliation par la notation excessive et la stigmatisation scolaire porte atteinte à cette égalité.
Constitution de 1946 (Préambule): Proclame le droit à la protection de la santé, physique et mentale, notamment pour les enfants. Les violences psychologiques institutionnelles subies par les élèves sont une violation flagrante de ce droit. Le Code de l'éducation et la Constitution de 1946 prévoient que l’éducation doit respecter la personnalité de chaque élève. La stigmatisation scolaire et la violence institutionnelle s’opposent directement à ces principes, faisant des gouvernements français des criminels d’État.

 


Législation européenne

 

Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (Art. 24): Prévoit que les enfants ont droit à la protection et aux soins nécessaires à leur bien-être et que leur intérêt supérieur doit être une considération primordiale. Le système éducatif actuel, en infligeant des traumatismes psychologiques aux enfants, viole cet article.
Convention européenne des droits de l'homme (Art. 3): Interdit la torture, ainsi que les traitements inhumains et dégradants. La violence psychologique imposée par le système scolaire s’apparente à des traitements dégradants et contrevient à cet article. Convention européenne des droits de l’homme (Art. 3): L’interdiction des traitements inhumains et dégradants est violée par les pratiques éducatives humiliantes, instaurant une terreur constante qui laisse des séquelles permanentes.

 


Législation internationale ONU

 

Convention relative aux droits de l'enfant (CIDE):
Art. 19: Exige que les États prennent toutes les mesures pour protéger les enfants contre toute forme de violence, physique ou mentale. L'État, en maintenant des pratiques éducatives violentes, viole ce principe fondamental.
Art. 28: Stipule que la discipline scolaire doit être appliquée de manière à respecter la dignité de l'enfant. Les méthodes basées sur l'humiliation et la notation abusive ne respectent pas cette dignité.
Déclaration universelle des droits de l'homme (Art. 26): Affirme que l'éducation doit viser le plein épanouissement de la personnalité humaine. Le système éducatif actuel, par ses méthodes brutales, entrave cet épanouissement.

Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CIDE): L'article 19 impose aux États de protéger les enfants contre toutes formes de violence mentale et physique. En laissant perdurer un système éducatif qui torture psychologiquement les enfants, les États sont coupables de non-assistance à personne en danger.


Législation des États-Unis

 

Individuals with Disabilities Education Act (IDEA): Garantit un enseignement adapté et respectueux des besoins des enfants. En marginalisant et stigmatisant les enfants en difficulté, le système scolaire viole les principes d'inclusion et d'équité inscrits dans cette loi.
Section 504 du Rehabilitation Act de 1973: Interdit toute discrimination contre les personnes handicapées dans les programmes financés par l'État, y compris les écoles. Les méthodes éducatives qui n’offrent pas de soutien aux élèves en difficulté peuvent être considérées comme une forme de discrimination.

 


Conclusion

Un appel à la responsabilité et à la justice.


Les symptômes psychologiques dévastateurs engendrés par les pratiques éducatives actuelles, combinés à la violation flagrante de lois nationales et internationales, constituent une preuve irréfutable de la culpabilité des États, gouvernements et institutions scolaires. Le maintien de ces méthodes brutales n'est pas une simple erreur administrative, c'est une négligence criminelle et une violation systémique des droits humains.

 

Les responsables de ce génocide psychologique doivent être tenus pour coupables, sans recours ni excuses. Les États et leurs gouvernements doivent reconnaître l'ampleur des dégâts infligés, réformer immédiatement ces pratiques, et offrir des mécanismes de réparation pour les victimes de cette violence. Ce n’est qu’en reconnaissant et en réparant ces torts que l’on pourra enfin mettre fin à des générations de souffrance infligée sous couvert d'éducation.

 

L’humanité, la dignité et le bien-être des enfants, adolescents et adultes ne doivent plus jamais être sacrifiés sur l’autel de la performance scolaire. Le silence institutionnel doit être brisé et la justice rendue pour tous ceux qui ont été détruits par ce système inique.

 

Les enseignants complices de ce système, qui ont appliqué ces méthodes destructrices en connaissance de cause, doivent également être tenus pour responsables. Il ne peut y avoir de place pour l’argument de l’obéissance aveugle à un système oppressif. Chacun des acteurs impliqués devra répondre de ses actes devant les tribunaux.

 

Les actions des gouvernements et des institutions éducatives constituent des violations flagrantes de nombreuses législations nationales et internationales, qu’il est impératif de rappeler pour engager une action judiciaire implacable. Ces lois, quand bien même elles sont souvent ignorées ou contournées, doivent être appliquées avec la plus grande sévérité.

 

Cette inertie coupable représente non seulement un échec moral, mais aussi une violation directe des principes fondamentaux du droit international, comme stipulé dans l'article 28 de la Convention relative aux droits de l’enfant: l'éducation doit viser le plein épanouissement de la personnalité de l’enfant et non l’abrutissement et la destruction de sa psyché. Les alternatives éducatives sont disponibles et prouvées efficaces, mais les États criminels refusent de les implémenter, perpétuant ainsi leur régime de terreur psychologique.

 

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