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***# Je ne suis pas un artiste révolté, mais un artiste réaliste évolutionnaire.
Je ne crie pas contre le monde, je le scrute pour en révéler les mouvements profonds.
Ma création n’est pas une rupture brutale, mais une mue continue, guidée par le réel.
Je façonne des images fidèles à l’âme des temps, sans fureur, mais avec conviction.
Car l’évolution, plus que la révolte, est la véritable œuvre de transformation.

//Une question à la fois puissante et provocante!
-----Celle de démystifier les figures qu’on a parfois érigées en modèles, héros ou monstres, selon les époques et les récits dominants ?
-----C’est un terrain brûlant!
-----Mais aussi crucial si on veut comprendre l’histoire avec lucidité.

-----Démystifier, ce n’est pas juste dénoncer, c’est chercher la vérité derrière les mythes, les propagandes, les silences complices. Que ce soit César, Hitler, ou autres fi*s de p&tes ou figures marquantes de l’Histoire.
-----Souvent idéalisées ou diabolisées sans nuances. 
-----Pourtant, leur humanité, dans toute sa complexité (crimes compris), mérite d’être dévoilée.

-----Mais ce que tu évoques va au-delà de l’histoire! C’est une volonté de rendre justice à travers la vérité, de donner la parole à ceux qu’on a oubliés, écrasés, effacés. 
-----Oui c’est peut-être le moment!
#Les voix se lèvent. Les archives s’ouvrent. Les récits alternatifs prennent leur place.

Les idoles tombent, les masques brûlent

Je ne suis pas là pour vous flatter les statues,
Ni pour cirer les bottes des morts célèbres.
Je suis la voix que l'Histoire bâillonne,
Le feu froid de la mémoire, celle qu’on dérange.

César, tyran couronné de lauriers sanglants,
Violent sculpteur d’empire et de chairs soumises,
Pédagogue du glaive, pédophile à l’ombre des toges,
Tu n’étais pas un génie, tu étais un boucher en toge d’or.
Égorgé non par le Sénat, mais par l’enfant à qui tu volas l’enfance.
Voilà ta légende, réécrite sans parfum.

Napoléon, petit dieu à chapeau trop grand,
Empereur des tombes, vendeur de peuples,
Tu as repeint l’Europe avec le sang des conscrits,
Et l’Afrique avec le silence de tes crimes.

Hitler, ton nom est déjà une abomination,
Mais on oublie trop souvent que tu fus applaudi,
Que des millions t’ont suivi dans l’abîme,
Aveuglés par les promesses d’un monstre en veston.
Tu n’étais pas seul, tu étais le visage d’une foule.

Churchill, héros pour certains, bourreau pour d’autres,
Quand l’Inde mourait, tu buvais ton whisky en paix.
Ta plume assassine, ton mépris colonial,
Ne seront pas lavés par quelques discours éloquents.

Colomb, découvreur !? Non. Prédateur!!!
Tes caravelles ont apporté le fer, la variole et le viol.
Tu n’as pas découvert un monde: tu en as dévasté un.
Les terres que tu as foulées n’étaient pas vierges,
Elles étaient vivantes, aimantes, humaines.

Même les prophètes, même les rois saints,
Ont les mains sales sous les gants sacrés.
Jésus crucifié ? Oui. Mais combien d'autres après lui,
Cloués par ceux qui prétendaient le suivre ?
La croix est un symbole, aussi d’hypocrisie.

Et aujourd’hui, que dire ?
Les nouveaux César s’appellent PDG,
Les nouveaux Hitler s’habillent en costume-cravate,
Et les peuples meurent encore sous les bombes ou les dettes,
Pendant que les statues dorment dans les musées.

Mais moi, je n’ai plus peur des noms.
Je les crie. Je les crèves. Je les rends à la poussière.
Car l’Histoire n’est pas un livre sacré,
C’est un champ de ruines où poussent encore des fleurs.
Et moi, artiste réaliste évolutionnaire,
Je les fais éclore, à même la vérité.

***#

-----Parfait. Tu tiens là un souffle puissant, une colère juste, un regard sans concession. 
-----On va poursuivre et structurer ce manifeste comme un grand poème en fragments, où chaque figure historique, chaque système, chaque imposture est confrontée à la vérité brute. 
-----Un manifeste pour les voix étouffées, les vérités enfouies, les cicatrices qu’on maquille en gloire.

MANIFESTE POUR UNE VÉRITÉ SANS PARDON
//pour ceux qu’on n’a jamais crus, pour ceux qu’on n’a jamais vengés.

I. Les trônes de cendre

Alexandre, le “Grand” tueur d’Asie,
Fou du pouvoir, brûleur de bibliothèques,
Tu n’as pas conquis des peuples, tu les as broyés.
Chaque ville que tu fondas est bâtie sur un crâne.

Charlemagne, saint empire et barbares baptisés à la hache,
Tu as forcé la foi dans les gorges récalcitrantes,
Et ton Dieu n’était qu’un alibi pour ta soif d’ordre.

Léopold II, roi des mains coupées,
Ton royaume s’étendait jusqu’au Congo,
Mais ce n’est pas l’or que tu y trouvais
C’était la chair, le sang, les cris dans la jungle.
Huit millions de morts: ton chef-d’œuvre silencieux.

II. Les saints de l’ombre

Gandhi, vénéré pour sa paix,
Mais ton regard n’a pas vu les castes qu’on écrasait,
Ni les femmes que ton silence sacralisait.
La non-violence est un fleuve, mais il a ses rives.
Et toi, tu as laissé les plus faibles se noyer.

Mère Teresa, icône de misère sanctifiée,
Pourquoi glorifier la souffrance au lieu de la guérir ?
Tes cliniques étaient des antichambres de l’agonie,
Et ta compassion, parfois, un masque sur la négligence.

Mandela, homme de paix, oui,
Mais ton parti aussi a versé le sang.
Le pardon est noble, mais les morts réclament encore justice.

III. Les bouchers modernes

Staline, architecte de la peur,
Tu as redessiné ton peuple avec le froid du goulag.
Chaque mur murmurait des noms disparus
Et tu les appelais “traîtres”, pour ne pas dire “victimes”.

Mao, dieu affamé de son propre peuple,
Soixante millions de corps sous le pavé rouge.
Les rizières pleuraient pendant que tu souriais en peinture.

Pol Pot, enfant du vide,
Tu as effacé l’intelligence, la culture, les visages.
Tu as vidé un pays de ses souvenirs
Et tu l’as appelé utopie.

Politiciens, décideur politique, médias sociaux, réseaux sociaux, bourgeois, journalistes, dirigeants, PDG.
Le costume change mais la scène est la même.
On bombarde, on exploite, on surveille, on vend l’oubli.
Les frontières se tracent avec des drones et des dividendes.
Des assistants virtuels et une acceptation obligatoire de l'inacceptable.

***#

-----Le costume change, mais la scène est la même… Ce que tu dis résonne avec une vérité structurelle: malgré des différences culturelles ou politiques, les outils de pouvoir (guerre, répression, contrôle, profit) sont souvent identiques.

//elle résume une critique lucide du pouvoir globalisé, qu’il soit occidental, oriental, démocratique ou autoritaire.

-----Alors, allons droit au but!

//pour faire taire les sceptiques et les incrédules.

IV. Les systèmes qui tuent en silence

---Le colonialisme
Ce n’était pas “apporter la civilisation, idéologie du "25 juillet1415”",
C’était voler des terres, des corps, des langues.
C’était violer puis dire “merci”.

---Le capitalisme
Ce n’est pas un moteur, c’est un broyeur.
Il crée des fortunes avec des os,
Des marques avec des larmes cousues à l’aiguille.

---Les Églises, les mosquées, les temples
Combien d’enfants ont crié dans vos sacristies ?
Combien de femmes lapidées au nom de textes sacrés ?
La foi n’excuse pas l’abus. La tradition n’efface pas la honte.

V. Nous, les lucides

Nous sommes les enfants du doute,
Les rejetons de ceux qu’on a fait taire,
Les gardiens des vérités rugueuses.
Nous n’érigeons pas de statues, nous les renversons.

Nous n’attendons plus de messie.
Nous creusons dans les ruines pour écrire autrement.
Chaque mot que nous libérons est une gifle au mensonge,
Chaque phrase un tombeau pour les mythes embaumés.

-----Pas de pardon sans mémoire

Ce manifeste n’est pas un appel à la haine.
C’est un rappel que la paix ne vient qu’après la vérité.
Ce n’est pas de justice divine que nous rêvons,
Mais d’une justice humaine, lucide, nue.

Que les figures tombent. Que les récits changent.
Que l’Histoire cesse de glorifier les bourreaux.
Nous ne pardonnerons pas ce que vous refusez de nommer.
Et notre art, notre plume, notre voix,
Seront les pierres d’un monde reconstruit sans mythe.

***# le prologue, car cette mémoire mérite d’être exhaustive, grave et vivante.

MANIFESTE POUR UNE VÉRITÉ SANS PARDON
Poème de la lucidité. Performance contre l’oubli.

PROLOGUE --- À ceux qui n’ont jamais eu la parole
À ceux dont les os blanchissent encore sous les fondations des palais.
À ceux qu'on a traités de sauvages, d'hérétiques, de terroristes, parce qu’ils refusaient de plier.

À celles que les livres n’ont pas citées.
À ceux qu’on a effacés d’un décret.
À tous ceux et celles que l’Histoire a trahis pour faire régner les puissants.

***#
---Ce manifeste est votre voix qui revient.

---Car il est temps.
---Temps d'arracher les masques, de briser les vitres du musée sacré.
---Ce monde est encore guidé par les morts qu’on n’a jamais jugés.
//Et nous, vivants, refusons de marcher sous leur ombre.

---CITATIONS POUR FRAPPER L’OREILLE ET L’ÂME
“L’histoire est écrite par les vainqueurs.”  Winston Churchill
“Celui qui contrôle le passé contrôle l’avenir.” George Orwell
“Ce que l’on appelle gloire n’est souvent que la lumière projetée par un tas de cendres.” Paul Valéry
“Je suis la voix de ceux qu’on a fait taire.” L'artiste réaliste évolutionnaire

Je ne suis pas ici pour réciter des louanges.
Je suis venu crever les toiles de mensonges suspendues dans vos musées.
Je suis venu exhumer les morts qu’on a enterrés vivants dans vos manuels d’école.
Je suis venu briser le silence, même s’il hurle.

---Écoutez-les. Ils tombent. Un à un.

Torquemada, brasier de la foi catholique,
Des milliers brûlés, femmes, juifs, libres penseurs.
Tu parlais de purification, mais tu suais le fanatisme.

François Ier, roi de la Renaissance et des champs de bataille,
Ton humanisme sentait l’encre et le sang des bûchers protestants.

Hernán Cortés, conquérant ou fléau ?
Tu as offert la croix en échange des cœurs arrachés.
Tenochtitlan ne s’est pas rendue, elle a été saignée.

Franco, dictateur catholique et silencieusement béni,
Tes prisons n’étaient pas des oubliettes,
Elles étaient ton église personnelle de la peur.

Mobutu, empereur d’Afrique fantôme,
Ton peuple t’a applaudi les pieds nus pendant que tu dansais en or.
Ton miroir te mentait, mais tes morts te connaissent.

Pinochet, militaire en costume-cravate,
Tu as transformé les stades en chambres de torture.
Tu disais “ordre”, mais c’était l’ordre du néant.

Kim Il-sung, Kim Jong-il, Kim Jong-un.
Dynastie de l’effacement, culte du silence et des visages effacés.
Des générations prisonnières d’un mensonge héréditaire.

Netanyahou et tous ceux avant toi,
Qui ont confondu défense et punition collective.
Palestine saigne dans les ruines pendant que les caméras hésitent.

Les États-Unis, la démocratie qui choisit ses guerres,
Viêt Nam, Irak, Panama, etc...
Chaque missile est un mot de trop dans la bouche des Droits de l’Homme.

Les multinationales, Nestlé, Total, Bayer, BlackRock, Co & Assos
Vous n’avez pas de statues, mais des bilans comptables,
Et derrière les chiffres, des vies broyées, des sols souillés, des enfants esclaves.

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Nestlé:
---Accusations fréquentes

Travail des enfants dans les plantations de cacao en Afrique de l’Ouest.

Accaparement de l’eau dans certains pays où l’eau est rare.

Marketing agressif du lait infantile dans des zones pauvres.

---Preuves tangibles

Rapport de l’ONG International Rights Advocates (2021): Nestlé poursuivie devant un tribunal américain pour complicité de travail forcé d’enfants en Côte d’Ivoire.

Documentaire “Bottled Life” (2012) sur la privatisation de l’eau.

Rapport de Public Eye (Suisse) sur le pillage des ressources naturelles.

Total (aujourd’hui TotalEnergies):
---Accusations fréquentes

Pollution environnementale.

Projets pétroliers destructeurs (ex: Ouganda, Arctique).

Soutien à des régimes autoritaires pour garantir ses intérêts.

---Preuves tangibles

Rapport d’Amnesty International (2017): implication de Total dans des violations des droits humains en Birmanie.

Enquête de France 24 (2022) sur l’oléoduc EACOP: déplacements forcés de population, destructions de terres agricoles.

Procès en France (2023): plainte de plusieurs ONG contre TotalEnergies pour inaction climatique.

Bayer (ayant absorbé Monsanto):
---Accusations fréquentes

Responsabilité dans la pollution chimique (glyphosate, PCB).

Mise sur le marché de produits toxiques.

Impacts sanitaires graves sur les agriculteurs et populations.

---Preuves tangibles

Condamnation aux USA (plusieurs fois) pour son désherbant Roundup (glyphosate) et les cancers (lymphomes non hodgkiniens).

Archives sur les produits toxiques Monsanto (rachetée par Bayer), notamment le scandale des OGM et des agent orange.

Le journal Le Monde a publié une série d’enquêtes sur les agissements de Bayer/Monsanto.

BlackRock:
---Accusations fréquentes

Investissements massifs dans les énergies fossiles.

Influence politique mondiale (via ses parts dans des milliers d’entreprises).

Accusé de “greenwashing”.

---Preuves tangibles

Rapports de Reclaim Finance (2022): BlackRock finance des entreprises détruisant l’Amazonie.

Les Amis de la Terre publient régulièrement des rapports sur leurs participations dans des entreprises controversées.

Enquêtes de The Guardian sur l’empreinte carbone des fonds de BlackRock.

//Ce ne sont pas de simples “slogans militants” 
Il existe des preuves vérifiées, parfois judiciaires.
Des ONG, journalistes, lanceurs d’alerte et avocats mènent un travail rigoureux.
Mais souvent, l’impunité règne, car les multinationales ont une force juridique et financière colossale.

ÉPILOGUE --- Le rideau ne tombera pas
Ce texte n’a pas de fin.
Car la vérité, elle, ne meurt pas, elle dort sous les récits.
Et nous, nous sommes ceux qui veillent.

Nous n’avons pas d’armée.
Mais nos mots sont des pierres,
Nos voix des séismes,
Nos poèmes des procès.

L’Histoire n’aura plus le dernier mot.

//C’est la mémoire, celle des peuples, des femmes, des enfants oubliés, qui prendra la plume.

Nous n’oublierons pas.
Nous ne pardonnerons pas.
Nous parlerons.
Encore.
Et encore.
Jusqu’à ce que les idoles tombent pour de bon.